[Lieu] Guet - Estranger, Recrues , présentez vous !

Sautant de cheval, il se retrouva au milieu de la bataille. Rapide coup d’œil sur la situation pour se rassurer déjà des guerriers gisaient au sol, il ne crut point en voir du côté de l’Ost.

Déjà le Capitaine criait, le Seigneur des Lances non loin. Une bonne chose se dit t’il.

Du coin de l’œil, il vit une hache se levait, mouvement instinctif de recul, elle s’abattit a ses cotés.

Tu n’auras pas deux chances Germain.

Sans plus de protocole il leva son épée, mais le Germain esquiva. L’adversaire était coriace donc. De nouveau sa hache qui vint s’écraser sur son écu le faisant trembler. Tenant bon il profita de son écus pour charger avec lâchant son épée afin de prendre sa dague.

Ainsi plus léger plus mobile et au contact la situation serait plus simple.

D’un mouvement circulaire il vint planter sa dague dans les flancs du Germain à deux reprises lui arrachant un cri. Le Germain néanmoins ne lâcha pas et de ses énormes mains lui attrapa par-dessus l’écu son coup et serra.

Privé d’air, l’issue serait d’une manière ou une autre rapide. Leur regard se croisa, chacun cru reconnaitre en l’autre une part de soi, celle de guerrier.

Le Vicomte frappa, frappa et frappa encore tandis que le Germain serrait. Peu à peu toute fois la pression se relâcha. Soudain il tomba, la mort l’avait cueillit. Désorienté, le Juge tomba a genoux tentant de retrouver ses esprit et de l’air….. La vie…..

Vulnérable il ne vit pas un Germain lui sauter dessus pour de nouveaux une étreinte puissante. Sur le dos le noble se trouver en fâcheuse position, les coups ne semblaient pas porter effet, il planta alors ses doigts dans les orbites de l’agresseur. De douleur cette fois, le Germains lâcha prise c’est alors que le Vicomte administra un violent coup de tête pour se défaire. Il sentit le nez de l’adversaire craquer, mais de rage il reprit son étreinte, laissant Argael de Monestier les Bains étouffer…..

Sujet: Guet-Estranger,recrues,présentez vous Dim 12 Oct 2008 - 14:50

La lutte continue inégale , acharnée...
Ndj lui a sauvé la vie..... à elle de lui rendre la pareille....

Les coups. les humiliations reçues remontent en elle.... elle le leurs fera payer...maintenant le plus important est de voler au secours de NDJ.

(J'ai pas demandé ca Debrinska ... :s J'ai juste peur que si chaqu'un me tue 3 Germain minimum j'aurais plus rien du tout moi... Donc je demande juste d'y aller molo, c'est normal que chacun aient sa part, je suis le premier pour... Mais juste faire durer un peu c'est tout... Supprimez le dernier posts de Debri, je demande pas que tu quitte le rp! Juste qu'on y aill doucement... Que Akron et Ingo aient le temps de faire leur rp aussi avant que tout le monde meurt lol

bon jeu ...)

Dernière édition par NDJ le Dim 12 Oct 2008 - 19:48, édité 1 fois

NDJ continuait à esquiver tant bien que mal le fléau du géant,heureusement que l'autre était lent comparé à lui,mais l'issue du combat ne faisait aucun doute,il commençait à fatiguer alors que son adversaire maniait son arme comme s'il s'agissait d'un éventail.

Il para une énième attaque avec son épée,le coup faisant trembler tout le corps,et hélas,son arme lui échappa des mains.

Il réussit toutefois à planter sa miséricorde dans le bras de l'attaquant,qui,de rage,l'envoya valser d'un formidable coup de poing en pleine face.

Ca y était,il allait mourir,mais tout étourdi qu'il était,ça ne serait probablement pas douloureux...

Klaus regarda autour de lui, comme si la scene ne l'effrayait pas, comme si il avait le temps... Ses hommes mourraient et apparemment aucune perte coté Francois...Klaus sur sa monture, se recula du coté ou l'attaque était menée. Ils les avaient prit par surprise... Il aperçut une femme tuer es hommes av"c une tel haine qu'il se dit qu'il s'occuperait d'elle plus tard.

En appelant Ingo, son fils et son bras droit, il se mit légèrement sur le coté, face au Castel... Les autres allaient sortir, il fallait donc faire deux groupes. Il ordonna donc à Ingomère et son fils de prendre 3 cavaliers de plus, et 10 hommes, et d'aller s'occuper de ceux qui sortent du Castel. Klaus quand à lui allait continuer avec ceux arrivée par surprise.

(précision hrp: Ingomère tu peux t'occuper des hommes avec toi et du fils de Klaus, fais toi plaisir^^ Sinon le rp est ingérable pour moi...^^)

Il aperçut un homme, assez vieux pour avoir du connaitre plusieurs guerre mais pas assez pour être infirme de l'épée. Celui la serait son premier, il s'avança donc vers Argael, calmement, repoussant quelque coups d'épée mais ne cherchant pas à tuer... C'était un miracle de voir ce Germain s'engageait dans ce champs de bataille sans prendre un seul coups. A quelques mètres du Seigneur, il descendit de sa monture, et cria...

Alter Mann! Konzepte!

(Vieil homme, approches...)

Tandis que Klaus attendait impatiemment de pouvoir planter sa lame dans la chair du Briançonnais, les combats continuais, des flaques de sang giclaient de tout les cotés...

Akron ne prit même pas le temps de s'occuper de la pietaille. Il vit les Germains se séparer en deux groupes avec apparement un qui allait guerroyer avec les soldats du tunnel qui faisaient du [trop] beau boulot et un autre qui apparement serait pour eux. Il n'avait plus aucune notion de stratégie, où de bataille. Il passait à côté de bonshommes sans les voir, il n'avait plus qu'une chose en ligne de mire : Ingomère !

Dernière édition par Fontvell le Lun 13 Oct 2008 - 12:05, édité 1 fois

Font avait lancé son cheval au galop (à moins que ce ne fut le contraire)..Lance en avant il essayait de se préparer au premier choc qui eu lieu plus vite que prévu...
Certes la pointe avait trouvé sa cible mais le Chef de lance se trouva précipité au sol tant l'impact fut rude...

Quand il se releva, ce fut pour voir deux germains se précipiter vers lui.....
Il chercha désespérément du regard son bouclier mais celui-ci était hors de portée.

Les portes du château venaient de s'ouvrir, les soldats prêt à charger, prêt à tuer, prêt à venger la mort de cet enfant...Toujours cachés dans les fourrés, les hommes trépignaient d'impatience à l'idée de tuer ses hommes mais il ne fallait pas oublier que ces barbares étaient des guerriers sanguinaires, et qu'ils ne feraient pas de pitié...Il fallait donc s'attendre à tout...même au pire...Après tout, il n'avait pas hésité à tuer une enfant si jeune et innocente, alors pourquoi pas une femme, une mère, ou un jeune homme à peine sortit de l'école...
Un signe du cavalier présent non-loin d'eux et ils le rejoignirent, il devait être chef car il avait une prestance incroyable et il savait motiver ses troupes.

Soldats je serais bref et concis, pas de quartier, vendez chèrement votre peau dans la bataille car soyer sur ils ne feront pas de quartier, ni de prisonniers. Le point de ralliement sera mon étendard, il sera à vos côtés au cœur de la bataille.
Soldat je compte sur vous en avant.

D'un coup de cor, il sonna la charge, Ald dégaina son épée, c'était sa première bataille mais elle s'était promis de ne pas baisser les bras, même si les adversaires semblaient plus fort qu'elle...
D'un cri, elle se jeta à l'assaut avec les autres...

Sainct Georges et Dalphiné !!!

*Pour toi, ma fille.*

Elle courut en direction des Germains, arrivée à leur hauteur elle ralentit et chercha des yeux un adversaire...Sur sa droite, elle apperçut un homme grand et blond comme la plupart de ses congénères, il tenait une énorme masse d'arme, si il la touchait avec cela s'en serait fini...En garde avec son épée elle approcha, prête à bondir pour esquiver car elle ne pourra pas parer avec son corps, son gambison étant sa seule armure. Un duel s'engagea, le Germain attaquant avec fureur, Ald esquivant et parant les coups, cherchant le bon moment pour attaquer...Soudain, un coup plus violent que les autres tomba sur elle, elle para avec son épée, mais son adversaire continua à vouloir l'écraser. Une idée lui vint à l'esprit, elle tenta un moulinet pour désarmer le Germain, certes ce n'était pas une épée qu'il possédait mais cela devrait aller quand même, dans un cri de rage rassemblant ses forces, elle désarma son adversaire, le soucis étant que dans l'élan, elle avait lâché son épée également...

Ils se retrouvèrent face à face, le Germain semblait dans un état de rage incontrolable, s'il pouvait la tuer à mains nues en la faisant souffrir il le ferait sans hésitation...Ald ne voya plus qu'une solution, il ne lui restait qu'une seule arme, sa dague. Elle la dégaina, observa du coin de l'oeil où se trouvait son épée puis porta à nouveau son regard sur le Germain, celui-ci quant à lui dégaina une arme qui ressemblait à un glaive, Ald déglutit, elle se trouvait dans une très mauvaise posture. Le Germain chargea, Ald se défendit comme elle le pouvait et réussit même à lui entailler le bras droit avec sa dague, cependant elle ne put esquiver le coup qui visait son bras à elle, dans un cri de douleur elle tomba au sol, son sang coulait abondamment mais ce n'était pas vraiment le moment opportun pour rester à attendre bien gentiment la mort arriver, aujourd'hui ne pouvait être son dernier jour, elle avait promis à sa fille de ne pas l'abandonner. Elle toucha son bras gauche, la plaie était profonde...Peut-être était-ce un signe du destin, mais en tombant elle s'était rapproché de son épée, aussi, surmontant la douleur alors que le Germain s'approchait d'elle pour lui donner le coup de grâce, elle se mit à genoux et sauta vers son épée qu'elle attrapa de sa main valide. Elle se tournit vers le Germain, se releva tant bien que mal et lui fit face...S'il fallait mourir autant que ce soit dignement !
Sa lame en avant, elle se lança à l'attaque, utilisant les forces restantes pour ne pas se faire tuer, elle esquiva un coup et réussit enfin à placer un des siens, le coup transperça le ventre du germain qui tomba inerte à terre...Satisfaite, Ald se traina à l'abris des assauts avant de perdre connaissance, ayant perdut trop de sang...

Ingomère opina du chef en prenant en compte les ordres de Klaus elle désigna ceux qui la suivraient

"Mit mir Schnell !"

Elle s'apprêtait à mener ses hommes à l'assaut des inconscients qui venaient de quitter les murs du chateau quand elle l'aperçut, lui chargeant en tête des cavaliers. Il ne faisait même pas usage de son arme, délaissant totalement les corps à corps qui s'allumaient tout autour de lui. Elle regarda brièvement les hommes qu'elle devait mener, autant leur donner un ordre simple

"Am Tod !"

Ils frappèrent leur armes en se ruant à l'assaut et elle vit avec plaisir le fils de Klaus se débarasser promptement d'un soldat qu'il envoya ad patres en un rien de temps. Puis elle éperonna sa monture et se mit à galoper en direction de l'homme. Comme lui elle se mit à ignorer totalement tout ce qui se passait autour d'elle, elle avait un seul but : le rejoindre. Finalement elle cabra sa monture, elle était maintenant face à lui et ne put réprimer un cri de surprise

"Ta balafre !"

[disons qu'Akron et moi parlons germains mais en traduction spontanée, pis vu ta piètre maitrise de l'allemand t'y verra pas d'inconvénients n'est ce pas Kron' ?]

Sujet: Guet-Estranger,recrues,présentez-vous Lun 13 Oct 2008 - 8:06

¨Deb se précipite au secours de NDJ... qui est tombé au sol....
d'un coup de pied rageur dans les fesses de l'assaillant, elle l'invite à se
retourner et à continuer le combat avec elle et son loup qui poil hérissé
montre dangereusement les crocs!

NDJ reprit ses esprits et constata qu'il était toujours en vie,Deb avait détourné l'attention de son géant.

Il était encore trop sonné pour reprendre le combat et rampa vers son épée,s'en saisit avant de s'écarter des combats qui faisaient rage.

C'est alors qu'il aperçut un membre de son escouade qui pissait le sang à même le sol.

Il s'approcha toujours en rampant et examina le blessé,ou plutôt la blessée,reconnaissant Aldraien.

Diable que faisait-elle là plutôt que s'occuper de son nouveau-né?

Il l'examina,elle était en vie,mais une profonde blessure au bras saignait abondamment,il fallait absolument arrêter cette hémorragie.

Il découpa ses braies avec sa miséricorde et fit un garrot,pas le temps de faire plus.

Puis il se retourna vers la mêlée qui commençait à s'éclaircir,des corps gisant un peu partout.

Il se releva et retourna au combat,chopant un bouclier sur un homme à terre au passage...

Dernière édition par Aldraien le Lun 13 Oct 2008 - 18:33, édité 1 fois

*Indy...Où es-tu ? Indy...mon enfant...*

Ald s'éveilla brusquement, ne sentant pas la présence de sa fille...Elle avait mal, ne sentant que la douleur lancinante de son bras, elle avait du s'évanouir...Elle regarda sa blessure, un garrot, quelqu'un était venu s'ocuper d'elle, la soigner, ou du moins empecher le sang de couler, même si le bandage sommaire était rougit par le sang, ses pensées allairent à sa fille, elle était heureuse d'être encore en vie, de penser que peut-être elle pourrait la revoir, elle aurait surement du rester avec elle, s'occuper d'elle, ne pas la laisser à sa nourrice, mais en étant là, elle pouvait également la protéger, protéger ses amis, ceux qui lui étaient chèrs....

Elle tenta de se relever doucement, mais retomba lourdement sur le sol à cause de la douleur. Elle regarda autour d'elle, sa vue était floue, elle ne voyait que des formes qui se dessinaient devant elle, entendant les bruits d'acier s'entrechoquant, les hurlements, les gemissements de ceux qui comme elle avaient été blessés...
Elle sentait sa blessure saigner, le sang malgré le garrot continuait de couler, moins fort certes mais tout de même, elle se sentait repartir dans l'inconscience et tenta tant bien que mal de se tenir éveillée
*Ne pas t'évanouir, tiens bon Ald, tiens bon, pour ta fille, pour tes amis...*
Sur ces dernières pensées, Ald sombra à nouveau dans un malaise du au sang perdu...

Akron cabra net sa monture. Il avait dévancé légèrement ses compagnons, et Ingomère avait un poil d'avance sur les siens si bien qu'ils se retrouvèrent isolé au coeur de la fournaise, dans un espèce de no man's land qui se retrecissait à mesure de l'avancée des deux camps. Il détailla une dernière fois le visage de la femme et celle-ci sursauta en apercevant la balafre. Il ota alors son casque

"Je suis Akron, de la famille des Etichonides. Descendant direct de Eberhard le Cruel et de Iulfrid le Pieux. Fils d'Aldabert le Gros et d'Odile de Murbach, de l'eveché de Strasbourg. Je porte cet anneau et cette balafre, les deux seuls souvenirs de ma soeur qui m'a quitté il y a trop longtemps....les souvenirs que tu m'a laissé avant de quitter la maison !"

Il scruta la réaction de la femme, la main sur sa hache, prêt à engager le combat s'il se trompait de personne. Mais comment, même au milieu de la tourmente, même dans le camp adverse, ne pas reconnaitre sa soeur qu'il aimait tant ? Une autre question s'imposa immédiatement à lui : si elle était sa soeur, que feraient-ils alors ?

Frutass se baissa pour ramasser son fauchon. Le fracas des armes et des cris retentissait autour d'elle. Impossible de repérer ses compagnons au milieu du tumulte des combats. Lorsqu'elle releva la tête, elle aperçut un groupe de Germains qui s'approchaient à grande vitesse. L'un d'eux se précipita vers elle avec hargne, un bouclier de bois et de cuir, et un braquemard à la main. Il leva son arme de son bras gauche - littéralement énorme - et l'abattit sur son maigre fauchon. L'épée lui échappa des mains - encore - sous la force du coup. Elle sortit sa dague longue et para de justesse un nouveau coup. Son bras trembla sous le choc, et elle perdit sa dague sous le troisième coup. Désarmée, essoufflée, les jambes tremblottantes, elle faisait face à un ennemi bien plus grand et fort qu'elle. Elle esquiva un coup d'épée horizontal, mais pas le bouclier qui lui arriva en pleine face. Elle perdit l'équilibre et se retrouva au sol, sur le dos.
Le Germain leva son épée au-dessus d'elle, prêt à l'embrocher.
Elle envoya son pied avec force dans la cheville de l'homme, avec l'espoir de le faire tomber. Celui-ci ne broncha pas et eut un petit rictus de victoire. Il abattit son épée. La lame s'enfonça dans le sol, à quelques pouces de son flanc droit. Frutass regarda l'homme. Celui-ci envoya son pied avec force dans ses côtes. Elle sentit une douleur aigüe, le souffle coupé, avant qu'un second coup dans l'abdomen ne la fasse rouler de quelques pas. Elle cria en se tenant les côtes, recroquevillée sur elle-même. Ces hommes étaient des brutes acharnées et rodées au combat. Semi-consciente, elle sentit qu'on la souleva, avant qu'un violent choc à la tête ne la plonge dans l'inconscience totale.

De l'intérieur de la garnison, MacCornell et sa lance attendaient le signal pour entrer en scène. Le bruit des combats résonnaient sur les murs de la cour intérieure et s'amplifiaient sur les remparts extérieurs. Les bêtes commençaient à s'impatienter et les hommes vibraient selon qu'ils leur semblaient reconnaître une voix, un cri. Le chef de lance sentait la tension monter dans son groupe. Bientôt, ce stress allait pouvoir être libéré.

Ingomère faillit éclater en sanglot quand l'homme se présenta à elle, comme ils avaient appris à le faire dans leur jeunesse. Elle se contint néanmoins, des années de mercenariat, parfois au service de la Germanie, parfois au service de la France, parfois pour son propre compte, l'avait rendu capable de maitriser ses émotions. Elle inclina légèrement le buste

"Je suis Ingomère, fille d'Aldabert et d'Odile, ta soeur ainée"

Une larme roula sur sa joue, Aristote était un Dieu bien cruel pour faire se retrouver dans deux camps opposés deux personnes du même sang, c'est d'ailleurs pourquoi elle ne croyait plus en lui.

"Dommage que ce soit là, je suis content de te voir frèrot ! " * déglutissement bruyant * "As-tu des nouvelles des nôtres ? Père à t-il pris sa retraite ? Mère s'occupe-t-elle bien du domaine ? Peut être ai-je d'autre frères et soeurs maintenant ?"

Elle jeta un oeuil inquiet aux soldats qui se rapprochaient

"L'heure n'est pas aux palabres, tu as l'air d'être une sorte de chef ici. Je ne porterai pas les armes contre mon frère mais, que faisons nous ? "

Akron baissa la tête, ainsi elle ne savait pas.

"Ingo, ils sont mort, tous ! Massacré par....par des mercenaires Germains, peut être par ...PEUT ETRE PAR UN DE TES COMPAGNONS !
Excuse moi ! Père, mère, ma fiancée, seul Tötmachen et moi en avont réchapper"

Il poussa un soupir

"Töt est aussi mort depuis"

Il se garda bien de préciser que c'était lui même qui l'avait tué. Mieux valait ne pas rendre cette situation encore plus tendue que ce qu'elle n'était. Quand elle lui demanda ce qu'il fallait faire, il lui confia ce qu'il pensait être la meilleure solution

"Mets bas les armes, saute de ton cheval, constitue toi prisonnière, je veillerais à ce qu'il ne t'arrive rien ! Fait moi confiance, je peux me porter garants que ces hommes ne te feront rien !"

Ingomère répondit, et soudain ce fut trop tard. La mélée était là et les deux groupes arrivèrent au corps à corps. La jument d'Akron, prit dans le tumulte du combat et répondant à son éducation de cheval de bataille fit une brusque embardée en avant

L'arrivée au groupe de Germains lui parut interminable ..... une telle rage en elle l'habitait . Analysant la situation, elle vit le Vicomte en mauvaise posture .
Elle vit Akron s'occuper de la femme , mais ne comprit pas .. ils se regardaient .. mais point de temps à la contemplation , elle fonça vers le Vicomte .
Mais elle se retrouva fasse aux germains . Son cheval cabra devant la violence des Germains , et elle eut du mal a le calmer .
Son épée ne frappait que boucliers , elle s'abattait mais sa position sur son cheval la genait plutot qu'autre chose .

Il avait déjà une plaie légère au flanc ... et à cette vue elle ne put que reculer puis se laissa glisser de son cheval , pavois d'un coté , épée de l'autre .

Elle se battait comme un diable , moulinant de son épée, levant son pavois .
Les coups étaient rudes, forts et malgré sa force , elle sentait bien que la partie n'allait pas être gagnée ...
Son objectif était de se rapprocher d'Argael, mais ....Elle avait beaucoup de mal .

…Il sentit le nez de l’adversaire craquer, mais de rage il reprit son étreinte, laissant Argael de Monestier les Bains étouffer…..

Cherchant à garder la maitrise de ses sentiments, il imposa le calme à son esprit. La mort était une compagne devenu presque agréable qui s’était refusé à lui a moins que ce ne soit lui qui se soit refusé à elle.

Soudain, il su, lâchant ses mains qui tenter de défaire l’emprise sur son cou, il frappa simultanément sur les deux creux du coude avec le tranchant de la main le plus violement possible, raccourcissant la distance entre les têtes.

C’est ce moment qu’il choisit pour assener un violent coup de genoux dans ses parties reproductrices.

Profitant de l’élan il réussit à basculer sur le côté puis sur.

Le Vicomte n’était plus alors qu’un soldat conditionné, loin des protocoles de la noblesse sur la bienséance. L’instinct seul le guider il abattit son crane sur le visage de son adversaire encore et encore.

Bientôt celui-ci ne cria plus, et c’est vidé d’énergie qui leva la tête pour voir un homme imposant regarder le spectacle sans intervenir, de par l’attitude des autres Germains il devait s’agir la de leur chef.

Inspirant profondément, une certaine lassitude le gagnant, voila trois hommes qui venait d’être réduit au silence, autour de lui les soldats se bâtaient noblement, et pourtant leur chef lui restait immobile, le fixant calmement, il semblait avoir jeter son dévolu sur lui et dans un soucis d’honneur guerrier, il lui laisser semble t’il le temps de récupérer quelque peu ce dont il lui fut grès.

Soudain il s’exprima

Alter Mann! Konzepte!

(Vieil homme, approches...)

Cherchant son souffle il articula tout de même quelques mots.

Tu sais que tu as bien sale Guelle l’ami, je m’en vais te l’arranger.

Il le défia à son tour du regard, contact si caractéristique, mélange de respect et de défi guerrier. Ainsi même les Germains dont l’atrocité étaient connue respecter ce code ancestrale.

Péniblement il se leva pour récupérer dague, épée et écu. Retrouvant ses esprits, il défia du regard et de la voix leur chef.

Amène-toi Germain, je suis ton homme et des plus coriaces………

Ingomère secoua la tête négativement

"Prisonnière ? Y a sûrement un autre moyen, qui me garantie que..."

Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase, la canasson de son frère fit une brusque embardée en avant et se cavalier se rapprocha d'elle. Des années de guerres avaient affutés ses reflèxes et qu'elle ne le veuille où non bien souvent elle agissait par instinct. C'est exactement ce qu'elle fit quand Akron approcha. Sans même prendre conscience de ce qu'elle faisait, elle dégaina prestement sa dague et ce n'est que quand celle-ci fut profondément enfoncé dans les entrailles de son frère qu'elle réalisa. Mais il était trop tard. Après lui avoir jeter un regard étonné, Akron bascula sur sa selle, les mains serrées autour de la dague. Elle en resta interdite un moment. Elle ne venait pas vraiment de faire ça c'était juste un cauchemar.

"MON FRERE NON ! Je ne voulais pas je suis désolée"

Désolée, quelle futilité, comme si celui-ci pouvait l'entendre encore. Elle regarda d'un air affolé tout autour d'elle. Pour la première fois depuis des années elle perdait son sang froid. Si Akron était un officier, les soldats ne laisseraient pas ce crime impuni, mais avant de penser à elle il fallait qu'elle tente de le sauver, si la chose était encore possible

Citation :: Quand il se releva, ce fut pour voir deux germains se précipiter vers lui.....
Il chercha désespérément du regard son bouclier mais celui-ci était hors de portée.

Le premier arrivé sur lui allait lui porter de son épée un coup fatal si une flèche sortie d'on ne sait où alla se planter dans sa nuque...Font eut le temps de rouler sur le côté, de se saisir sa dague et de la planter dans la jambe du second germain.
Celui-ci eut un cri de douleur et de surprise, se recula puis se mit à rire :

Tu crois pouvoir m'arrêter avec ton cure dent ? Prépare toi à rejoindre tes ancêtres !!!!

Font se relevant doucement, montra la lame et rétorqua :

Non, pas avec ce..cure dent...mais avec ce qu'il y a dessus...

Le mercenaire arrêta son geste, regarda la dague, puis sa jambe....Il fut soudain pris de tremblements...

Que m'as tu fais, bâtard ? Fils de chienne ?..........

Il souleva à nouveau son épée afin de frapper le Chef de Lance mais s'écroula à genoux....

Tu ne devrais pas trop souffrir... lui dit Fontvell avec ce qui semblait être de la pitié Je n'aime pas voir les gens souffrir...

Amène-toi Germain, je suis ton homme et des plus coriaces………

Klaus eut un léger sourire, peu remarquable derrière sa longue barbe. Il était là, debout, entouré d'homme et de femme envoyant coups d'épées et de poing dans la chair d'autres hommes et femmes... La situation s'éclaircissait, déja quelques hommes au sol, beaucoup de Germains... Peu d'importance pour Klaus, seul le vieil homme comptait, si la bataille devait être perdu, qu'il la perde en faisant couler le plus de sang, et surtout, en ayant battu un homme d'honneur, un guerrier...

Epée dans la main droite, bouclier dans la gauche, Klaus respira profondement en espérant malgré tout qu'il ne livre pas son dernier combat. Sans plus attendre, tout en fixant le Seigneur Argael, il fonça dans sa direction, sautant à un mètre de lui épée soulevée pour lui envoyer son premier coups. Premier coups paré par Argael...

Il ressaisit ses esprits, gardant un bon mètre d'écart avec son adversaire, ... Les deux hommes formaient un cercle ne se quittant plus du regard. Les deux guerriers avaient tout deux menés multiples combats, vu de nombreuses victimes et perdus de nombreux hommes, ... Ils savaient qu'un des deux devaient quitter ces terres, pas d'issue de lâche, pas de pitié...

Faisant quelques gestes avec son épée, il se rua ensuite sur Argael, les deux hommes envoyant et parant de multiples coups à tour de rôle. Le combat commençait vraiment! Klaus savait qu'aucun de ses hommes n'oseraient perturber ce combat, il en espérait qu'il en était de même dans le camps adverse...

Le combat faisait rage devant les remparts. La situation semblait compromise voire désespérée pour certains. Il était grand temps pour les troupes de réserve d'intervenir. L'ordre fut enfin donné à MacCornell et sa lance de faire pencher les combats du côté de l'Ost. La tension longtemps retenue allait enfin pouvoir se libérer sur les envahisseurs. Le pont-levis abaissé, il ne restait plus qu'à ouvrir les lourdes portes du château.

Comme les portes s'ouvraient, les hommes de la lance de réserve découvraient le champ de bataille. Ils pouvaient enfin associer l'image aux sons. Ce qu'ils redoutaient tous se livraient à leurs yeux. Mais après tout, ils étaient formés pour ce genre de situation. La lance sortit du château au petit trot.
Des soldats resteraient malgré tout sur les remparts pour prévenir toute intrusion et couvrir une retraite improbable.

Une fois la situation évaluée, MacCornell décida de mener sa lance sur les troupes ennemies qui encerclaient le Capitaine. Les plumes de son heaume émergeaient d'un attroupement autour du Capitaine et de sa garde rapprochée. Ah les félons, ils veulent nous priver de commandement ! Pour exhorter ses hommes encore plus, il cria:

Sus à l'ennemi ! Sauvons notre Capitaine et la victoire est à nous !

Jolie bataille, l'odeur du sang se répendait .
Il n'avait qu'une hate, trainer la blonde, celle qui semblait donner des ordres alors que son rôle était d'obeïr . Mais pour le moment, il faisait oeuvre de sa hache à grands rires .
Il défiait du regard avec insistance cette jeunesse sans peur ... ils devraient pourtant .... et croisait les armes , sa force de Germain lui donnant quelques avantages .

Sujet: Guet- Estranger, Recrues;présentez vous! Mar 14 Oct 2008 - 20:04

Discrètement Deb s'éloigne un instant du combat....elle se jette dans les hautes herbes et commence à ramper en direction d'Ald... par les cornes de Satan.la follette! une nouvelle mère de surcroit, qu'avait- elle besoin de venir se faire embrocher par ici! pense- t.-elle en arrivant ou git la femme.....
La sortir de ce guêpier avant d'y retourner! Germains vous n'en avez pas fini avec moi!

Elle se penche sur Ald,,,, et fait appel à l'Art pour stopper l'hémorragie..pour l'instant c'est tout.... ce qu'elle peut faire et la tirer avec l'aide de ptit Loup un peu à l'abri derrière de gros rochers,que les barbares ne la trouvent pas... ...Elle ordonne à Ptit loup de monter la garde et de ne laisser personne approcher ... seulement ceux de l'Ost qu'il connaît!

Bien heureux évanouissement qui lui permet de récupérer et de ne pas souffrir..le corps à besoin de repos!

Une dernière fois , elle s'assure que le coutilier va bien et elle se coule à nouveau vers le champs de bataille... vers le ramassis de la colère d'Aristote que sont les *vandales!*]

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