[RP] Vienne

Space mener la petite troupe dans les bois, puis un cri survint.

Ils se dirigèrent tous d'instincts vers la provenance du crie.

Le moment est venu, se dit Space, il place sa main sur le manche de son épée et la sortie de son étui, de son autre main, il serra ferment son bouclier.

En se dirigeant vers les assaillants, il sentit son cœur battre de plus en plus vite. L'adrénaline montait en lui.
Il se rappela durant quelques secondes, les champs de bataille en Bretagne, ou Péné lui avait sauvé la vie plusieurs fois. Cette fois si, c'était a lui de la secourir

Il cherchait du regard Péné, il fallait a tout pris la trouver pour la libérer.

Une fois arrivé a porté du premier brigand, il poussa un crie de rage.

Par Saint Georges et Dauphiné
A l'attaque

Il repoussa le premier ennemi d'un coups de bouclier, donnant un coup d'épée dans le second.

Dans le mêlée, space cherchait toujours son chef, mais impossible de la retrouver.

*Aller péné ou es tu, montre toi* se dit 'il.


A quelques mètres de lui, Space vit Memel avec Yohan. Ils avaient l'air de se débrouiller, de l'autre coté, il remarqua Tenshi au sol, avec Ald et Giemsa

Il espérait que rien de grave ne leur soit arrivé.
Pour l'instant, toute son attention lui servait à rechercher Péné.

Il remarqua un peu plus loin, une énorme forme, certainement leur chef, se dit'il, Péné doit certainement se trouver la bas.

Il se dirigea dans cette direction afin de retrouver péné.

Aux premiers combats, Thib vit que l'ennemi était inférieur en nombre sur cette escarmouche, ses frères d'armes et lui se battaient à deux contre un...il fit confiance à ses frères et s'enfonça dans les bois sans faire de bruit et contourna le théâtre du combat, une centaine de mètres plus loin il vit deux soldats qui couraient, probablement des renforts, en direction des ses amis, Thib se plaqua contre un arbre et les laissa le dépasser, il hissa son pavois sur son dos et pris sa dague et dégaina son épée puis fonça.Le premier n'eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait quand Thib l'attrapa par derrière et l'égorgea devant son complice et lui murmura à l'oreille: "Profite de la chance que je t'offre de mourir sans souffrir, ton complice ne l'aura pas" pendant que l'ordure se vidait de son sang, soudain le deuxième homme lança son attaque, il prit son épée à deux mains et fit une attaque descendante qui paraissait trop puissante pour être parée à l'épée, alors Thib fit un saut en arrière en poussant le cadavre contre son adversaire qui enfonça sa lame dans le corps de son complice.
Thiberian rangea rapidement sa dague et prit son pavois en main et railla le soudard :" Tu te trompe d'endroit ou planter ton épée mon vieux, je ne laisserais pas passer ça la prochaine fois", le pillard beugla comme un animal et le chargea tel un taureau, Thib savait qu'il n'aurait jamais la force pour arrêter une telle charge mais avec un sourire en coin il se mit quand même en position de garde, l'ennemi dut se dire qu'il était fou car il sourit également, il faut dire que la différence de carrure était plus que conséquente, arrivé à portée le lame alors qu'il allait lance une attaque puissante, Thib fit un pas en avant, se baissa, leva son pavois au niveau des genoux du monstre et quand ceux ci heurtèrent le bord, il poussa violemment vers le haut et beuglant tellement son adversaire était lourd, ce dernier bascula et se retrouva catapulté derrière Thib et s'affala dos contre terre, Thib se releva et lui planta son épée dans l'épaule et prit un plaisir malsain à entendre hurler cette brute de douleur, il retira son épée et fit de même dans l'autre épaule, puis il lâcha son épée et détacha sa masse d'arme de sa ceinture et lui défonça le genoux droit, il sentit le craquement sourd sous son armes et écouta le long hurlement de son adversaire, un hurlement de douleur et de désespoir, un hurlement d'expiation...puis il lui dis :

Je te l'avais dis n'est ce pas? que tu allais souffrir avant que ta misérable existence de petite frappe ne sombre dans les landes de l'enfer.
Regarde moi bien, tu ne mérite aucune pitié, aucun procès, aujourd'hui je suis ton avocat, ton juge...et ton bourreau.

Il écouta patiemment le condamné geindre et implorer sa pitié, mais pitié il n'en avait aucune pour qui touchait aux personnes qu'il aime.Il hésita à lui défoncer l'autre genoux mais il n'avait plus le temps pour ça...

Avant de vous en prendre à un seigneur des lances, pensez que vous êtes des amateurs et que vous ne valez pas des soldats entrainés, si tu crois en la réincarnation ça te sera utile.

Puis il enfonça sa masse d'arme dans le crâne du soudard et les gémissements s'évanouirent aussitôt...Il ramassa son épée puis se renfonça dans les bois à la recherche de Péné alors que ces compagnons se rapprochaient...

taz entendi des rales non loins de lui il se diriga et voyant un silhouette il commenca a tendres on arc quand il reconnu un rire qui lui disait quelque chose


thib c'est toi ? je vois que tu leur a fait la peau

aller maintenant que c'est dégager on grimpe cette foutue colline et ont trouve notre marraine

écoute si tu veux bien arriver la haut benji le valentinois et moi ont fait le ménage et tu va nous cherché péné quand les autre arriveront si cela te va ont y va

ont va pas attendre non plus des années maintenant

taz qui voyais arrivé benji et greza leurs dit

les gars ont grimpent et une fois la haut ont se place ont trouve péné et on dégome le premier qui s'approche comme ca thib pourra la libèrer. allez ont y va

taz et ses compagnon commencère a gravir la colline puis une fois arrivé en haut cherchèrent ou pouvait se trouver leur amie? taz mis un genoux a terre couvrant toute la zone avec son arc

thib si tu la vois tu me le dit et tu fonce nous ont te ferra la place tu vas avoir un vrai boulevard crois moi avec benji et greza vont connaitre se que veut dire etre archer

sur ces mots taz attendit de voir thib se déplacer toute en cherchant ou pouvais etre leurs sdl

Non… je ne veux pas… lâchez moi espèce de vermine, non, non… NON !!!!!!!!!

L'avait pas du aimer qu'elle lui crache à la figure, sa voix égrenait de douloureuses protestations, mais ses membres épuisés avaient encore la force de se débattre.
Lentement, elle sentait son corps s’élever à nouveau, porté vers le sommet de la colline, comme un débris que la mer, immanquablement, inéluctablement, repousse vers le rivage.

Elle hoquetait, sanglotait, parfois, un noeud se formait dans sa gorge....
Ses gémissements faiblissaient à mesure que le délire la reprenait, que la fatigue, la douleur et le froid l’engourdissaient.

Débâcle de la raison, passion furieuse, étreinte enragée, tant de fois à la pointe aigue de l'asphyxie, le regard obscurci du voile noir des limbes, enragement des sens, extrême limite de la rupture des âmes, tourbillon sans fin de l'ardeur de sa rage...


Regarde moi bien, tu ne mérites aucune pitié, aucun procès, aujourd'hui je suis ton avocat, ton juge...et ton bourreau.

L’épuisement de ses nerfs, le délabrement de son esprit, ne l'avaient donc pas totalement anesthésiée. Elle le reconnut, elle savait que si Thib était là les autres ne devaient pas être loin derrière......

Thibbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbbb !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Ici Thib, je suis ici !

Elle fit claquer la langue contre son palais, tordit ses lèvres en marmonant des jurons tels des friandises dans sa bouche, des mots truculents comme du pain blanc, et des rimes foireuses étaient un vrai digestif qui lui agitaient les papilles...

Son bourreau la menaçait toujours en posant sa dague contre sa carotide.......Tout s'expulsait de sa bouche comme une gerbe intarissable et malsaine....... Ravaler ses mots ? Plutôt vomir. Se répéter et cracher sa verve à sa face.

C'est alors que le vent ressasse, inlassable, ce chant pénétrant jusqu' à l'âme, les branches ont frémi dans un bruissement d'air glacé comme une caresse d'outre-tombe, des feuilles tombent, voltigent, Pénélope les fixent d'un oeil.
Les branches s'agitent encore, mille chuchotements de ces feuilles, elles ne se taisent pas, moqueuses, leur litanie est sans trêve.

Contre son visage l’haleine fétide du scélérat l'étouffe, glacée comme une pierre tombale......à cet instant monte en elle la colère comme un poing dans son ventre.

La rage, la vengeance quand une apparition furtive, en jeux d'ombres et de lumières............Thib tout près, Thib si près.........Enfin !

taz entendis la voix de son amie appeler thib , il la chercha et la vu pres d'un collose qui avait sa dague sur sa gorge

thib regarde elle est la près du gros chêne avec ce tte homme va la chercher je m'occupe de ce maraud

il regarda les deux autres archers qui de trouvait avec lui et leurs dit

ecoutez les gars je m'occupe du gros truc qui sert a rien près de péné et après ont empeche toute personne qui ne porte pas un uniforme de soldat du LD de s'en approcher

taz choisis deux flèches avec un enpenage qui lui semblais parfait, les deux prochaines flèches qu'il allait tirées devait ne pas dévier de leurs directions choisis.
il ferma les yeux un instant et les ouvrants a nouveaux il vi du coin de loeil thib lui faire un signe de la tete et partir dans la direction indiquées

il tendis son arc visa et lachaa sa première flèche qui alla se loger dans le bras de l'homme menacant péné. il le vi pousser un cri de douleur lachant sa dague puisse tenant le bras set se retournant comme pour chercher d'où venait cette flèche

taz se dit tout bas

desolé thib je sait que celui la tu voulait le faire souffrir mais la il est pour moi



il pris sa deuxieme flèche la placa sur son arc et le tendis l'homme s'étant retourner étais plus facile encore a toucher

taz visa et la flèche partis

pour toi péné!!!!

quand il regada en direction de péné il vu sa flèche éclater la tête du vilain comme une citrouille trop mure dans le même temps péné se laissa tombée au sol peut etre sous le choc ou la fatigue mental et physique de cette épreuve

benji greza maintenant le premier qui s'approche il est mort en plus c'est bien pour l'entrainement des cibles mouvantes !!!

taz regardait de gauche a droite si d'autres arrivait il se tennait près avec ses compagnons arreter tout ceux qui tenterais de s'approché

taz qui surveillais la scene vi un de ses autres comperes arrivé vers péné illa libera et essayant de la raisonée quand tout a coup il la laissa lui tendant sa hache un colosse s'avancait vers eux et il n'etait pas encore en position de force

taz replaca une fleche et tira sur l'homme menacant il le vit s'ecrouler en gueulant un grand coup de douleur
la fleche venait de le toucher dans la cuisse


tiens tu parraitra moins grand comme ca pis surtout tu courra moin vite

il fit signe a memel de le finir et de s'occuper avec thib de ramener péné dans une zone ou elle risquerais moins de problemes


il continua a surveiller si d'autres colosse arrivaient quand il entendis un bruit derriere lui et se retournant il eu juste le temps de se faire rouler sur le coté pour eviter la lame d'une épée qui lui aurrait fendu le crane a coup sur


il se releva et pris la premiere chose qu'il avait en main et frappa l'homme au visage
l'homme hurla se tenant la tete taz venait de lui planter une fleche dans l'oeil

l'homme se retournant frappa taz a son tour avec la poignée de son épée taz l'espace d'un instant eu mal a garder les yeux ouvert puis tomba en arriere s'evanouisant sous le coup les derniere image qu'il voyait etait memel qui trucidait un homme et le brigand qu'il vennait de mutilé qui s'appretait a le tué puis plus rien le trou noir



(hrp) travaillant de nuit cette semaine vous aurrez surement fini de delivré péné demain donc pour moi la traque s'arrete la
ps: sauvez moi la peau quand meme

Memel débarqua soudain et délivra Péné de ses liens avant d'être attaqué par un colosse d'au moins 2m10, puis une flèche vint se ficher dans la cuisse du brigand.Thib s'élança alors, il déboucla son pot en terre de sa ceinture et le lança en direction du brigand en criant :

Memel on dégage, MAINTENANT.

Il prit Péné dans ses bras et prit la fuite en direction de la position sécurisée par les archers, pendant que le pot s'écrasait contre la face du colosse et que la chaux commença à lui liquéfier la peau dans d'atroces hurlement à peine humains...

Memel, BOUGE!!! si la chaux te touche tu va le sentir!!!
Allé ma Péné tiens le coup c'est presque terminé.On va pas te lâcher!

Il courait en direction de Taz et des autres quand il vit le reflet de l'acier au loin, et entendit comme une lutte très brève, il sprinta et vit Taz tomber dans le vapes en face de son assaillant, Thib déposa alors Péné au pied de l'arbre le plus proche et lui dit de récupérer puis il plongea sur le brigand qui allait planter Taz au sol, tous deux roulèrent au sol en se donnant du pied et du poing, Thib avait perdu ses armes dans la foulée et n'avait pas l'avantage du poids ni de la force, il rassembla son souffle et appela :

BENJIIIII, GREZAAAAA, ICIIII!!!!

Tous les soldats avaient moné la colline sauf Light et Yoann qui se battaint toujours contre l'ennemi.
Light allait l'avoir par la ruse, il le fallait, il était trop puissant pour eux.

Yoann, je lui rentre dedans, certe je tomberais mais il sera deséquilibrer et là tu iras dans son dos pour lui planter ton épée!

Light mit son épée parallèle au sol, son bouclier devant lui et fonça sur le adversaire.
Le coutilier fut déséquilibré et tomba sur le dos, épuisé il ne se releva pas.
Mais le brigand lui aussi aller tomber.
Il déambula mais ne tomba pas.
Pendant ce temps Yoann avait eu le temps d'aller dans son dos et de lui planter son épée dans le bas du dos. Il avait fait une plaie profonde et le blessé tomba droit comme un piquet, souffrant comme un cochon dont on vide son sang encore en vie.
Il tomba sur Light, il fut écrasé et ne put plus bouger, il étouffait

Yoann, je peux plus respirer, va chercher de l'aide sinon je vais
mourrir sous cet ordure...

Light arreta de parler pour continuer à essayer de respirer, fatigué et écrasé sa respiration n'était que plus difficile.

Krun marchait. Il tenait toujours fermement la seigneur des lances pour s’assurer qu’elle ne tente rien. Ils ne couraient plus, mais marchaient assez paisiblement, d’un coté tous réfléchissaient, réfléchissaient à ce qu’ils allaient bientôt faire, ce quoi ils s’étaient tous préparer. Le commencement de la fin pour eux était enfin arrivé. Krun marchait la tête rempli d’idée, ils e voyait déjà tenir la tête de cette femme et la montrer à Aristote, et lui dire ‘’ tiens, toi qui m’avait pris ceux que j’aime, je t’ai pris un de tes enfants ‘’.

Il fut cependant tirer de ces pensées par un cri strident. Ces hommes se tournèrent tous vers pénélope, Krun, lui n’y prêta aucune attention. Après tout, elle allait bientôt mourir, cependant il fut assez intrigué par cette force de caractère qu’elle avait. Peut être ne savait elle pas qu’elle allait bientôt mourir, ou alors était elle aussi forte que son père ? Il ne le saura sans doute jamais.

Encore un cri. Et encore la même chose, ses hommes se tournèrent vers elle, alors que Krun ne fit rien. Il l’empoignait seulement plus fermement. Quelques pas de plus avant qu’il ne pensa à quelque chose. Ces cris allaient certainement orienter les soldats, lors qu’il lui fallait le plus de temps possible. Il fronça alors les sourcils et tout en avançant avec ‘’ son chien ‘’ il se retourna vers les quelques hommes qui étaient derrière lui. Il leur fit signe, un signe qui voulait tout dire. Sans même un regret il regardait ses hommes faire demi-tour. Il ne voulait surtout pas qu’ils affrontent ses soldats, mais seulement de les occuper. Krun les envoyait sûrement à la mort, mais tous ici savaient ce qui devait être fait. Krun fermait alors la marche.

Le groupe amoindris, entrait alors dans une toute petite clairière. Sur leur gauche une petite bute, sur leur droite quelques arbres, et alors qu’ils avançaient tranquillement, ils furent tous intrigués par des bruits de bataille non loin d’ici. Ils n’étaient pas loin du tout et allaient bientôt leur tomber dessus. Peu de temps après ses bruits de fer qui s’entrechoquaient, pénélope lui cracha à la figue. Ceci était la goutte qui fit déborder le vase. Krun s’arrêta alors net, et plaqua la femme contre un arbre. Il s’adressa alors aux autres :

Nous allons en finir maintenant, j’ai ai marre de la voir ma narguer. Il se tourna alors vers elle.

Regarde moi bien, tu ne mérites aucune pitié, aucun procès, aujourd'hui je suis ton avocat, ton juge...et ton bourreau.

Peu de temps après elle se fit à crier un nom, il saisit alors sa hache et la regarda :

Pénélope, seigneur des lances, aujourd’hui tu vas payer pour les crimes de ton père. Il a tué des centaines des notre, nos pères, nos mères et nos amis, et là maintenant tu vas répondre de son acte. Il regarda un instant le ciel, puis enchaîna, tu as été reconnu coupable de ses crimes et tu sera alors décapité comme le veux notre coutume.

Juste après cela un homme s’était avancer, il s’agissait de son fidèle bras droit.

Laisse moi faire, je t’en pris

Krun ne lui répondit pas, et le laissa faire, il sentait l'émotion dans sa voix, ce qui était largement suffisant. Il se recula quand un bruit attira son attention, tout en haut de la bute. Il essayait de savoir ce que cela pouvait être. Toute son attention et sa concentration était rivée sur cette petite bute. Il tourna la tête et aperçut que ses hommes s’agitaient et couraient dans tous les sens. Il regarda alors, allongé par terre son bras droit u coté de pénélope, qui avait toujours la tête sur les épaules. Ainsi ils n’auraient pas eu le temps de fini, ce n’est pas grave, d’autres font mourir.

Il regarda alors un de ses hommes et lui montrant son bouclier. Ce dernier le lui jeta. Bien armé, il avait la rage, une rage sans précédent, et se tourna vers la petite bute où un homme assez musclé s’était élancer vers eux.

Pour nos Aïeux Cria-t-il en s’élançant sur le plus fort, sûrement le chef.

Le sang allait encore couler.


[hrp] Bon, c'est un peu long, mais z'aviez pas qu'à poster autant !^^ J'ai lu en diagonal, donc si jamais y a une incohérence quelque part, dites le moi. J'ai donc fait vite, et passer sous silence le passage où mes hommes vous attaquent, c'est l'inconvénient de mon pnj krun et ses hommes, je me focalise sur krun !^^ Aussi je me concentre sur le moment présent !
Aller on se fait une super final !^^

Encore merci à tous les participants, en particulier à péné, sans qui cela n'aurait jamais été possible ! MERCI, MERCI et MERCI ! Qui sait, peut être à bientôt .... [/hrp]

De tous les côtés, dans tous les sens, les hommes se mélangeaient. Au pied de la colline, le dernier kidnappeur venait de tombé, entrainé par un valentinois, Light ou Yoann? La distance ne lui permettait pas de trancher et il n'avait pas encore réussit à se familiariser avec leur silhouette, seul signe distinctif sous cette lune. Péné la voyait-elle toujours bleue? Pas le temps de réfléchir, Taz et Thib l'entrainait déjà avec eux, ainsi que Greza. Il montait la colline au secours de Péné. Il écouta le plan, toujours aussi silencieusement; sa rage intérieur ne lui permettait pas de déserrer les dents, juste de tirer plus énergiquement. Taz se chargeait du malabar qui secouait Péné, pendant que Thib la récupérait.

Alors il se détourna; sa confiance envers son frère d'arme était totale et il savait qu'il ne raterai pas sa cible. Les autres avaient aussi besoin de lui. En bas le dernier venait de tomber, donc il fallait maintenant oublier cette partie là de la troupe et s'occuper des deux formes qui arrivaient de l'autre côté : Mémel et Space. Les brutes n'avaient pas l'intention de les laisser passer. L'un d'eux - Mémel?- réussit à se détacher alors que l'autre -Space donc?- semblait trainer un poursuivant. C'est là qu'il lâcha ses premières flèches, aucun autre ne viendrait l'embêter. Pendant qu'il leur couvrait la route à la rencontre du colosse, un bruit surement provoqué par les artifices de Thib lui fit rater sa victime, mais cela signifiait que Péné était maintenant entre de bonnes mains. Tout tournait à une vitesse folle, et alors qu'il se demandait ce qu'il avait pu advenir de ses soeurs d'armes et des valentinois un cri d'au secours résonna : Thib ! Demi tour, Mémel et Péné -ouf-, Taz à terre, Thib au prise avec une brute supplémentaire -mais combien étaient-ils? Sans réfléchir il décoche en direction du dos que l'armurier lui offre. Et tire, retire et encore; sa rage se libère enfin et un nombre plus important que necessaire de flèches décore la montagne de muscles.

Il ne s'arreta que lorsque sa main ne trouva que le vide dans le carquois. Réalisant sa boucherie...

-Greza ! Y a plus que toi pour nous couvrir, je suis à cours... Et aide moi, il faut qu'on récupère Taz et qu'on se replie maintenant qu'on a Péné. Péné ??
Thib comment vas? Ou sont les autres? Qui est encore là bas?

Si sa colère s'était calmé, la panique était bien restée et tous ces mots se suivaient sans se laisser vraiment le temps de s'assembler. C'était le moment du bilan, regard circulaire pour localiser les derniers soldats à récupérer, dague en main pour remplacer l'arc sans munitions. Une pensée subite, le petit cor de Space. Il s'en saisit et souffle dedans, espérant que tous comprendront le sens qu'il voulait donner à cet appel : on a Péné!

Autour d'elle la bataille faisait toujours rage, le gros des troupes ennemies avait été mis à terre mais il restait les plus costauds. Des gémissements de barbares agonisant se faisaient entendre aux alentours et la jeune femme se demandait comment tant de violence était possible.

Son fiancé ne méritait pas cela, pourquoi était-ce lui qui était à présent à terre, elle ne pouvait le savoir mais elle était complétement abattue de voir son homme possédant une telle foi et se faire injustement blesser de cette façon.

Giemsa s'occupait d'elle à présent, elle lui fit un bandage de compression pour contenir l'hémorragie et une écharpe de fortune pour qu'elle puisse y reposer son bras...Se tournant ensuite vers Tenshi, elle fit ce qu'elle put, changeant le bandage de sa tête qui avait viré au rouge sang tellement les saignements étaient abondant.
Elle mis son gambison sous sa tête puis se tourna à nouveau vers l'archère blessée.

Citation :

Ald !
Regarde moi!!
Ecoute, je vais voir plus haut...voir les autres..
Tenshi va s'en sortir ma belle...
C'est un gars solide...
Je reviens très vite.

Elle qui avait le regard toujours fixé sur le corps inanimé leva les yeux à la demande de son amie, les yeux comme vidés de toute énergie, de toute combativité semblaient être à présent passés du vert au gris...L'étincelle qu'elle avait habituellement au fond du regard était à présent éteinte, pour ne pas dire morte, le choc qu'elle avait reçu en voyant Tenshi allongé avait été infiniment grand et elle ne pouvait dire un mot, se contentant d'acquiescer légèrement de la tête.

A peine était-elle partie que Ald se dirigea vers le corps de son fiancé et posa sa main valide sur la sienne, la caressant doucement. Elle le regardait, complétement inconscient et murmura quelques mots inaudibles sauf pour lui.
A peine sa phrase terminée, elle s'évanouit, la fatigue se mélant à la perte importante de sang et se retrouva allongée à côté de Tenshi.

Elle tenait le pain que Thib lui avait collé dans la main, spectatrice inerte de ce qui se passait devant elle...
Ses yeux glissent vers de droite à gauche, elle n'était pas fantôme mais bien là, nouvelle perle salée tombant sur sa joue, captant une partie de la lumière rougeoyante.
Le crépitement dans ses tempes se renforce, l'enveloppe. Elle se sent à la fois tirée et abandonnée, profondément perdue, déboussolée par un sentiment de perte qu'elle n'avait que très rarement ressenti. Une impression de manque.....

Elle tente une phrase presque inaudible, sa voix est basse et comme rauque, un noeud difficile à avaler sans doute, juste serrer les dents.
La luminosité vive du petit matin, écartelé aux vents de l'hiver, tranche les contours des silhouettes....
La douleur, les cris, les geignements et les battements de cœur, le froid, ses dents, serrées, et puis la sueur, le sang, les larmes.
Son palpitant qui bat, qui bat, comme un oiseau en cage, ça cogne et tambourine, ça vit, en tout cas. Ça bat à une cadence folle.

Toujours assise caressant le bois d'une racine du bout des doigts, comme le flot de souvenirs ondoyant sur les cailloux des sourires ou des larmes.
Caresser le bois comme le décompte du temps avant sa vengeance........