[RP] Lyon

Til, malgrés les grondements de la bataille, entendit une voix.

Bonjour à vous tous dans le cadre d'une enquête je voudrait que vous capturiez Corsino vivant pour le faire parler à propos de l'enquête

Merci de m'avoir écouté, et on le veut vivant

Elle chercha du regard qui avait dit ça et ... OOOh !! elle vit un guerrier !!!. Il avait l'air agé pour un brigand.. Il y a des métiers où la retraite est mère de prudence. les autres malfrats semblaient se grouper autour de lui : Corsino ! Cela ne pouvait -être que lui, il cherchait une issue pour fuir un combat qui serait à l'évidence à son désavantage. Il n' eut pas le temps de voir arriver le coup de massue qu'un bras sortit le la bataille lui mit sur la tête. Il tomba sur place ce qui eut pour d'inciter vivement à la fuite ceux qui tenaient encore sur leurs jambes .

Ha Ha Ha ! On te tiens Corsino !!
Il y a la bas, quelqu'un qui a des questions à te poser !! Tu vas passer un sale quart d'heure.. He He !
Il est à toi Kevin !!

Fatiguée par cette bataille, Til s'assit sur place pour attendre le réveil douloureux de Corsico et aussi pour voir à qu'elle sauce Kevin interrogerait le prisonnier. Pour rien au monde elle ne manquerait cela !

Fhar l'épée a la main dégoulinante de sang arriva au niveau des soldats.


Vous vous croyez ou soldats ? A la messe ? Sa grouille de brigand dans les rues !! ligotez moi ça et continuez a traquer les autres !! Sa grouille de vermien dans les rues !! On l'interrogeras plus tard !!

SAINT GEORGES ET DALPHINE SOLDATS EXTERMINEZ MOI CES BRIGANDS !
Au meme moment profitant de l'intervention du chef de la garnion Corsino profita de la situation pour assener un coup de pied dans bourses du Seigneur et s'enfuir a tte jambes dans le sombre des rues ...

Corsino s'était regroupé avec ses fidèles. Ses hommes se battaient et tombaient les uns apres les autres autour de lui sous les flèches et les coups des soldats qui lui barraient le passages et qui se deployaient peu a peu autour d'eux.

Les ombrs de la bataille dansaient autour de lui en se melant aux flammes des torches donnant l'impression d'etre dans l'antichambre de l'enfer. Les cris des agonisants et la plainte des bléssés accentuaient encore ce sentiment.
Dans le noir d'une ombre un baton se tendit et le frappa a la tete, étourdi il tomba au sol, perdant connaissance. Perdant leur chef les brigand détalèrent dans les sombres rues de la capitale se cacher un peu partout.

Se jettant sur lui une jeune soldat le bloque a te le ramena vers les autres soldat. Une discussion calme s'en suivit, l'étourdissement du brigand n'en comprenait aps un mot. PUis le cri d'un chef apparement, Corsino reprenait ses esprits. Il vit la corde et compris que cétait fait de lui. reprenant sa force il mit un volent coup de pied a Fhar au niveau des bijoux de famille. Le Seigneur de lyon s'écroula au sol se tordant de douleur.

Le corse s'enfuya en courant a la suite de ss hommes disapraissant dans la nuit....
Bientot le calme revint a lyon, un calme pesant et lourd ne présageant rien de bon.

Un peu plus tôt dans la nuit.....

Ils avaient veillé et défendu la ville toute la nuit, courrant sur les remparts, traquant les brigants à travers la ville. Ils avaient eu pour ordres de capturer Corsino, mais cette tâche s'avérait compliquée.....

Chlo était postée sur les remparts une bonne partie de la nuit, elle tirait ses flèches presque sans s'arrêter, tout comme les autres archers, Cocoleri était à côté d'elle, Coco était tout aussi concentrée que Chlo; malgré leur nombre important, les brigands commençaient à tomber les uns après les autres.....On commençait tout doucement à y voir plus clair....

Les brigands commençaient à se dispercerdans les rues de la ville, avaient-ils eu ordre de se séparer, pour nous rendre la tâche plus difficile ? Probablement, Chlo pensa alors que Corsino devait être lui aussi dans les rues, Chlo avait compris, les brigands dispercés dans la ville servaient à faire diversion, pour ne pas que l'on puisse reconnaître Corsino.

Il fallait le traquer, non pas sur les remparts, mais dans la ville même. Elle descendit des remparts, elle était suivie par d'autres de ses compagnons, ils arrivèrent dans la ville, les rues étaient sombres, les brigands se déplaçaient vite mais elle arrivait à en tuer quelques uns au passage.

Il fallait ratisser toutes les ruelles, s'ils ne trouvaient pas Corsino cette nuit....non, elle ne voulait pas y penser....Ses compagnons et elle se séparèrent, prenant chacun, un coin de la ville. Chlo était maintenant seule, elle avançait doucement, méthodiquement, regardant le moindre recoin, puis elle arriva au bout d'une ruelle, elle fut surprise par un brigand qui l'attrapa par le cou, lui mettant un couteau sous la gorge, elle ne voulait pas perdre son sang-froid, et elle ne voulait surtout pas y laisser sa vie, pas maintenant, elle prit son courage à deux mains, lui attrapa ses bijoux de famille, qu'elle serra si fort, que le type hurla et lacha prise, Chloris put lui prendre son couteau et lui enfonça dans le ventre, c'était lui ou moi ! pensa t-elle. Elle prit son arc, et disparue dans la ville, le jour commençait à se lever, il était temps de rentrer à la garnison, elle allait retrouver ses camarades et surtout elle n'avait plus de feuille.....

Chloris entendit du bruit au bout de la rue, elle se préparait déjà à sortir ses armes quand soudain elle reconnu cette voix, c'était Bebert.....

Citation :

mais c'et chloris chloooooo c'est toi je suis content de te voir ca fait une heure que jai vu personne on va se rentrer

Ahhhhh Bebert, comme je suis contente de te voir, j'ai eu mal à partir avec un sale type, qui m'avait mis un couteau sous la gorge, enfin bon bref, rentrons.

Mais tout d'un coup quatre types fondèrent sur eux....

Citation :

chlo aux armes vite !!!

Chloris avait dégainé ses armes, elle en tua un d'une flèche, puis embrocha le deuxieme, Bebert quand à lui en tua un d'un coup de masse, dans l'action Chlo entendit un cri effroyable...

Citation :

argghhhhhhhhhh!!!

bebert secroula a terre pissant le sang les mains sur son ventre

Bebert !!!!! Chloris se jeta sur le dernier homme lui assainant un coup de dague.
Elle accouru au plus vite aux côtés de Bebert....

Bebert, réponds moi, s'il te plait... elle posa la tête sur son coeur, et fut à moitié rassurée quand elle l'entendit battre, elle arracha un bout de sa cape, le mit sur la plaie de Bebert....les larmes commençaient à lui brouiller les yeux, il fallait faire au plus vite, il n'y avait pas le choix il fallait qu'elle l'emmène à l'infirmerie coûte que coûte....

Elle savait que malgré la fatigue ses forces n'allaient pas l'abandonner, et prit son courage à deux mains, attrapa Bebert sous les bras, et le tira en direction de la garnison, heureusement elle n'était pas trop loin...

Bebert, tiens le coup, tu ne vas pas me laisser quand même !...les larmes perlaient sur ses joues....

Chloris et le groupe, avait eu pour ordres de patrouiller dans les rues de la ville, il fallait capturer le chef des brigands, Corsino....mais jusqu'à maintenant, il était introuvable....

Et dire qu'il a failli être capturé l'autre soir...pensa Chloris....

Ce soir Chlo été partie vers le centre de Lyon, elle devait être prudente, les brigands devaient être à l'affût en ce moment. La nuit était claire, la lune éclairait toutes les ruelles, il fallait que Chlo soit deux fois plus prudente car si elle se faisait repérée...non, elle ne voulait pas y songer. Elle se faufila dans les moindres recoins, tuant au passage quelques birigands...

Puis au bout d'une ruelle, elle entendit deux hommes se disputer violemment, elle savait que ce n'était pas ses compagnons, elle frolait les murs à l'abri de la lumière et sans un bruit, elle s'approcha toujours plus prêt des voix, quand elle arriva au coin de la rue, elle constata effectivement qu'il s'agissait de deux brigands, mais pourquoi braillaient-ils autant, et surtout aussi fort ? Ce n'était vraiment pas discret pour passer innaperçu....

Chlo ne se doutait pas qu'à ce moment là, elle allait être prise au piège....Elle avança doucement, en pointant son arc vers l'un des deux hommes, de là où elle était, elle pouvait facilement l'atteindre puis le deuxième aussi, quand soudain, un homme enfin plutôt un molosse, l'attrapa par la taille et la souleva de terre...

Ca y est on en tient une !!! cria le brigand. Chloris se débattait comme elle pouvait, donnant des coups de pieds, des coups de poigs, mais rien n'y faisait, l'homme restait de marbre, comme s'il ne sentait rien, insensible à la douleur...

Vas-tu me lâcher espèce de sale rat, quand tu m'auras posée par terre, je te casserai les dents et je m'en ferai un joli collier. Lâche moi!! hurlait Chlo.

Mais le gros molosse lui colla une main sur la bouche, et l'emmena vers les types qui se chamaillaient, il la posa enfin à terre et c'est là que Chlo compris qu'elle était perdue....

Le gros type s'écria Voilà chef, on en a capturé une....Chlo vit alors sortir de l'ombre Corsino, entouré d'une dixaine d'hommes, elle avait changé de couleur et était devenue aussi pâle qu'un linge....

Que vais-je devenir songa t-elle....Corsino s'approcha d'elle et ordonna qu'on la ligotte, puis tourna autour d'elle, lui relevant une mèche de cheveux....

Tiens, tiens qu'avons nous là, une jolie petite soldat de l'Ost on dirait, parfait comme otage !!!! Chloris ne savait pas à quelle sauce elle allait être manger, elle commençait à avoir un peu peur, mais elle ne le montrerai pas....Pourvu que quelq'un s'apperçoive que je ne suis pas revenue....Qu'allez vous faire de moi ???? Corsino eut un horrible petit ricanement....Je ne sais pas mais on va peut être bien s'amuser qui sait.... Ca y est Chlo pensait qu'elle était perdue pour de bon.....

Chlo s'appretait à apsser une deuxième nuit entre le mains de sales rats, elle avait eu de la chance si on peut dire ainsi il ne l'avait pas touchée, juste un peu secouée fort, elle avait mal partout, elle sentait le sang couler de sa bouche, c'était chaud et elle avait froid, faim, soif et de demandait où étaient passés ses compagnons.

Elle ne savait pas ou elle était retenue prisonière, probablement dans une ruelle sommbre de Lyon, elle était ligottée aux pieds et aux mains et ne pouvais pas trop bouger...

Pourvu que quelqu'un pense à moi...se dit-elle....

C'était le troisième jour que Chlo passerai aux mains de ses brigands, ses forces l'abandonnaient tout doucement, elle n'espèrait même plus voir ses camarades, elle avait tout simplement perdu espoir....

Corsino arriva avec un morceau de pain et un peu d'eau, il lui enleva ses liens aux mains....

Tiens manges, tu ne me serviras à rien si tu es morte !!!! N'empêche que je pensais quand même que la garnison s'inquieterai plus tôt de la disparition de l'une des leur...Corsino eut un petit ricanement.....

Chloris le regardait sans rien dire, prit le pain et le mangea tout doucement, cela faisait maintenant deux jours qu'elle n'avait rien mangé....elle avait toujours aussi froid et ses contusions lui faisaient mal....

Mais où sont-ils tous ? pensa Chlo....

Til regarda Bebert en biais, elle venait de lui mettre tant bien que mal un chiffon sur une blessure qui semblait quand même plus profonde qu'il ne voulait bien l'admettre.
Bien. je file, je les trouverais en espérant qu'ils ne soient pas sortis de la ville..

Til chercha longtemps dans les ruelles profitant du brouillard pour rester discrète mais ne rencontra que quelques pochtrons trop saouls pour avoir remarqué quelque chose.

Mais où sont-ils? la ville est grande mais quand même ils ne se sont pas envolés!!

Elle vit une lumière. Une auberge!
Til retira son uniforme et le cacha dans des fourrés. Un foulard sur la tête pour cacher ses cheveux de la boue pour cacher ses traits , elle avait l'air d'un va-nu-pieds comme un autre.
Elle pénétra dans l'auberge. Il y avait quelques clients qui somnolaient, et le tavernier leva à peine la tête à son entrée.

Sert moi une bière !

Elle resta au bar. Regardant à droite et à gauche elle demanda

J’attends des compagnons qui viennent de loin. Tu n'aurait pas vu des voyageurs par chez toi?

Nan personne.

S'approchant encore du barman elle lui souffla:

Où peut-ont trouver refuge pour quelques jour quand on veut rester discret ?

Piuf! ça mon vieux ça dépend des finances et si on te recherche ça peut être très cher! Cependant il y a bien la vielle Louisa; elle a une ancienne auberge toute croulante; On sait pas trop ce qui s'y passe et elle accepte parfois de drôles d'individus mais bon la milice s'en fous alors.. Si j'étais toi j'irais voir de ce coté. Pour y aller c'est simple tu remonte la grande côte et c'est juste sur ta gauche derriere le petit marché; il y a tout un quartier où il ne fait pas bon trainer t'aura qu'à demander la Louisa, tous les gueux la connaissent.

Oki ! merci l'ami !

Elle lui glissa quelques écus et sortit. Elle traversa toute la ville et en effet, de l'autre côté c'était la zone. Les rues étaient sales, chiens et cochons y trouvaient pitance. Elles étaient jonchées de déjections d'animaux et les gueux qui s'y trouvaient se confondaient avec les murs . Til repéra l'auberge. Elle s'approcha de la fenetre au vitres cassées et regarda à l'interieur. Au Bar elle vit une silhouette qui parlait à une grosse tavernière, vulgaire, fardée comme une poule...
Mais c'est ce Corsino...
son sang ne fit qu'un tour : ils sont là!!!
Elle repartit prestement, faire son rapport à bebert qui devait l'attendre depuis un momment.

bebert ne mit pas lomptemps a reflechir d'apres les rapport de tilm ils etaient derriere lauberge
coco avait vu corsino partir derriere emmener des vivres il fallait agir vite et discretement

coco et max rester ici planquez vous et visez cette porte je ne veux personne qui sortent

courage les amis pour lost!!!

tilm ellie et bebert se faufilerent dans cette rue sombre qui devait faire le tour de l'auberge

personne ne la gardait bizarrement
il arrivent dans une cour au fond deux chevaux attachés ,sur la droite un porche et une grande porte en dessous

deux gardes etaient la qui discuter sans se cacher dailleurs

il se tourna vers max debrouille toi pour me detacher ces chevaux et fais les emprumpter la ruelle vite
bebert pris tilm par le bras et la mena au milieu de la ruelle deja un hennissement se fit entendre puis les chevaux se mirent a courrir dans cette direction suivi de.... oui les voila

les deux hommes courraient a vive allure essayant de rattrapper les betes affolées
ils penetrerent dans la ruelle sombre , bebert et tilm sortirent au meme moment [i]et frapperent en meme temps on necouta qun brtuit sourd et d'os briser
la masse d'arme de bebert avait enfoncé la cage thoraxique de lhomme tilm lui avait sectionner la carotide dun coup de hallebarde puissant

vite [i]dit bebert max et tilm vers la porte de lauberge je vais voir lautre portebebert sapprocha de la porte sa masse darme en main ouvrit la porte dun coup regarda a linterieur ...rien il ressorti quand soudain il vit quelqun allongé dans le noir ,s'approcha

chloriiiiiiisssss merde ca va

elle aquiesa de la tete doucement ,ne bouge pas on revientlui dit en souriant

il ressorti rapideùment alla rejoindre les autres contres le mur furtivement essaya de voir qui il y avait dans la piece

max lui fit 3 avec les doigts

alllez soldat on fonceeeeeeeeeeeeee
ils se ruerent a l'assaut tu tuerent un des hommes mais deja corsino et son ami fuyait par la pôrte de devantarretez le vivant

Fhar arriva au triple galop suivit du reste de la garnison. Il arrivait preter renfort a Bebert qui risquait d'avoir maille a partir de cet asaut. Ces brigands étaient des accoutumés de l'escarmouche et des situations perilleuses. Il falait faire preve de courage pour sauver l'archer de lyon des griffes de ces malotrus.

Au moment ou Fhar arrivait en vue de la taverne repere, Il vit Bebert defoncé l'entré et s'engoufrer a l'interieur en compagnie de son groupe de combat. Le choc des fers a l'interieur était terrible. La visibilité moyenne devait rendre difficile la progression des soldats. Au moment ou Fhar arivait a la porte un petit barbu se jettait sur lui et son cheval. Il n'eut juste a faire tourner Finelame sur ses sabot le fairer cabrer et fracasser le torse du bandit a coup d efer a cheval.

DEscendant de son épée il s'engoufra dans la taverne épée au clair. Evantrant par ci trcidant par la il vanaçait aux cotés de ses hommes pour protéger sa garnison et sauver son archer.

corsino fuyait encore mais une volée de fleche le fit se rentré hativement dans lauberge son ami resta cloué a la porte deux fleche dans le torse ,coco avait visé juste

il etait pret a sauté sur le chef des bandits quand des hommes desenderent des chambres

merde dit bebert furieux tuer les tous bon sang

tout le monde sactivait max tilm et sa hallebarde en avait fait reculé un puis decoupé un autre

bebert jouer de sa masse darme brisant un crane au passage
le combat devenait une boucherie du sang giclait de partout

il vit u hpmme senfuir puis deux il ecouta auusi des fleches venir senfoncer dans la porte ou etait encore accroché ce malheureux
pui il ecouta dans le brouhahah un hennissemen,t

il leva la tete et vit le seigneur fhar investir les lieux avec les autres soldats

fhar cria t'il tes la allons y soldat pour l'ostil se ruérent sur les derniers brigands fhar etaient fou furieux sale bretons hurlait til
il se devait encore ce croire la bas dans les rues de fougeres

bebert vit que la fin du combat etait proche se retourna et mis un coup de masse a corsino lui faisant lacher son épée il sapprocha et lui mit u coup de pied dans le ventre
corsino s'ecroula d du sang sur les levresbebert sapprocha le releva par les cheveux et le projetta contre le mur le bandit tomba au sol

attache moi ca max et serre bien!!

bebert rparti dans la cour de derriere sapprocha de chlo
oh mon dieu que ton til fazit
aller viens il souleva chloris la pprocha du cheval de fhar et la deposa
dessus
fhar en avait fini et ressorti
chef vite emmener la a la garnison elle est a bout e forvce
je moccupe de lhomme
il sapprocha de corsino apiene reveillé aller on lemenne au cachot prestement
les soldat rapidement repartirent direction la caserne

Chloris s'était rendue avec ses compagnons à la porte Saint Pierre....elle avait écouté avec attention le discours de Boursiero, quand elle entendit son nom...

Citation :

Chloris, je vous veux au Sud, à la porte Sainct-George et la surveillance jusqu’à Sainct Jean, vers la Primatiale…

Très bien Boursiero, j'irai au sud avec les miliciens qui seront sous mon aile, et s'il y a un problème nous ferons sonner les cloches.

Aïe...mauvaise pioche... La Croix rousse ! C'est le quartier le plus haut !! Il va falloir se monter toute la pente !

Til tourna le tête et vit les 6 miliciens qui allaient l'accompagner. Des gars de Lyon qui , à défaut de la mine avaient préféré le grand air et l'aventure et s'étaient engagés pour la ronde de nuit.

J'avais pas demandé à être chef moi.. j'aime pas les responsabilités.. et puis qu'est-ce qui est plus susceptible qu'un gars sous les ordres d'une fille..? 6 gars sous les ordres d'une fille !!

Bon; Soldats, 2 par 2 et on y va!

Ils se mirent en rangs et partirent sagement devant Til qui n'en revenait pas.

Woaw oki Facile en fait !

(rappel pour tilmorill et Bebert. On post d'abord sur la halle de Lyon, et on copie ici après. Merci )

Chloris avait sous son aile un groupe de miliceins, elle allait devoir leur montrer que c'était elle qui dirigerai le groupe, en espérant qu'ils ne seraient pas tous machos ! Elle avait pu les observer du coin de l'oeil, ils vaient l'air corrects et promptent à l'écouter leur donner des conseils, maintenant elle allait voir ce que la nuit allait leur réserver.

A première vue, tout était redevenu plus calme depuis l'arrestation de Corsino. Les brigands s'étaient dispercés par-ci, par-là, il n'y avait plus trop de rôdeurs non plus...

Boursiero avait fini de dispatcher les groupes, Chlo et les miliciens allaient pouvoir se mettre en route....

Allez les gars, allons-y, nous y seront assez vite à la porte Saint-Georges, soyez vigilants, observez et regardez bien autour de vous, les moindres recoins, ici il y a des endroits où l'on peut se cacher facilement alors il faut ouvrir l'oeil !

Finalement les miliciens n'étaient pas si bégueule et la conversation allait bon train. On regardait à droite et à gauche bien sûr mais bon, on dissuadait quand même les filous qui pourraient rôder rien qu'en manifestant la présence de l'autorité..

on fait une pause ici, dit Til, on y a vue sur tout le quartier de le Croisx rousse: ce sera parfait !

Approbation générale. Ils sortirent le jaja et les ptits en-cas et, tout en guettant la moindre agitation, se restaurèrent en se racontant des annecdotes sur des missions plus agitées.

Til, mine de rien, traficottait son bliaut. C'est à l'aurore qu'elle leur montrat ce qu'elle avait fait

Regardez ça j'ai personalisé ma tenue de deuil comme les autres !

Elle avait brodé, tant bien que mal "Pour la Reyne" sous sur sa tenue!

Pas mal non?



Pour la Reyne....