[RP] Lyon

[Pour ce qui se passe à Lyon]

Ilidan. et FuturPrincess qui ne se connaissaient pas avaient pas mal discuté à la sortie de Vienne, puis elles s'étaient concentré sur leur patrouille et avaient accéléré le pas.
Lors de leur 1ère pause, alors qu'elles devisaient en dévorant les victuailles fraîches, elles avaient entendu un passant et avaient pris leur air le plus martial pour interpeler le promeneur : un compagnon charmant qui avait partagé la nourriture et offert un rosé bien frais.
Peu après avoir repris la route, elles avaient rencontré une jeune femme à l'air décidé et à l'air un peu "étranger" aussi.
Enfin après quelques heures de marche sans aucune rencontre, elles avaient entendu un tel bruit, qu'elles avaient tout de suite identifié un grand mouvement de cavalerie. Elles s'étaient donc prudemment mise à couvert jusqu'à ce qu'elles aient identifiées les bannières !
Alors elles étaient venues saluer Kalten puis elles s'étaient écarté du chemin pour éviter la poussière et avaient regagné Lyon sans autre rencontre.

Ilidan. se présenta à la caserne de Lyon avec FuturPrincess.

Soldats de Vienne au rapport !
Tout d'abord nous avons rencontré : Steven100
Un jeune homme charmant et fort bien vêtu, originaire du nord de la France, installé un moment à Nîmes où il fut soldat et reparti sur les routes : trés bavard !

Plus tard sur le chemin, Galaelle a croisé notre route, une lorraine au fort accent et à la descente bien raide. Nous n'avons pas pu refuser sa mirabelle ! Ancienne soldate elle aussi !


Puis, nous avons croisé l'armée "Veto" dirigée par Kalten et Bastognard.

Et c'était sacrément impressionnant !

Ilidan. et Futur avaient été bien accueillies aussi après un repos bien mérité, une douche et une restauration elles rejoignirent toutes les 2 le groupe de Chloris, une belle jeune femme souriante. Cocoleri une autre jeune femme a l'air enjouée était là aussi.

Eh bien que de femmes dans cette patrouille ! s'exclama Ilidan. Fox est aussi une femme ?

Ilidan. avait son paquetage sur le dos et était prête à "suivre le meneur"

[faubourg de Lyon- Colline de Fourviere]

Corsino avait fini par arriver a Lyon. Lui et ses compères cherchait un moyen de pénétrer dans la ville sans cesse controlée par la milice et les soldats ....
Les soldats de l'Ost ... il les haissait il y a quelques mois il avait rejoind un groupe d'ecorcheur et avait pris la vile de Dié. Apres plusieurs jours de mise a sac il avait fini par ceder a la pression militaire et c'était fait massacrer par une horde de soldat avide de revanche. Ce que le salut du ciel sui sauva le corse. Bléssé il fit mine de s'écrouler. Une fois le calme revenue avant de relever les mort et achever les bléssés il put s'echapper dans la foret la plus proche.... Il passa les mois sui suivirent a soigner ses plaies. La foret permis a bandit de rencontrer un groupe de brigand local qui le rencardèrent sur la capitale qui venait de perdre son maire. La désorganisation gagnait Lyon et ses richesses était a portez de main. Il ne fallut pas longtemps a Corsino pour prendre la tete du groupe de brigand. Aussitot fait il dirigea ses nouveaux compères sur la capitale ou ils cherchaient désespérement un moyen de pénétrer la ville.
Une seule solutions s'offrait a eux. Entrer de nuit en se faufilant entre les gardes .

L'attaque était prete les complices du corses se preparaient dans les faubourg guettant l'arrivée des gardes occupés a s'amuser a "cache cache".

Ce sera top façile pensa le Corse....

Il descendit donc en courant vers le rempart se dissumilant dans l'ombre. Deja les éclaireurs était en haut de la murailles et leur tendaient des cordes.
Une cinquantaine de brigands arrivaient a Lyon discretemnt.

[sur le remparts Est prêt de l'hôtel de la Bourse]

La montée avait été façile. Les soldats ne semblait pas s'etre encore mis en place. On entendait au loin le bruits de leurs discussions qui restait cantonnées aux abords de la caserne. Il avait pourtant semblé a Corsino entendre un bruit de pas qui s'éloignait en courant mais rien n'avait filtré depuis...

Les brigands se repandait sur le rempart de créneau en créneau ils exporaient les abords de la ville se dévoilant la devant eux pleine de richesse...

Corsino un escalier a 100 mètres vers le nord. dit un homme jeune assez svelte pour etre confondu avec le vent.

les brigands se dirigèrent alors vers cet escaliers. Pas de résistance encore ici !! Corsino n'en revenait pas encore quelques pas et ils seraient dans les rues de Lyon. Un, deux . et hop la terre ferme .. la phange des rues sous leurs pieds. Devant eux les hautes maisons de bourgeois lyonnais s'élevaient.
ça sentait l'or a plein nez .......

bebert laissa chlo repartir donné lalerte il fit signe a son groupe de faire silence
coucher vous ca arrive par la gauche, ellierim max rampez jusquau bosquet la bas a mon sifflement on attaque ok

kevin ayant quiiter son groupe il devait improvisé a quatre

dans la penombre il vit ou plutot ecouta de nombreux bruit de pas rapides

il regarda tilm il avait du mal a dissimuler son stress

tilm on ne bouge pas encore

dun coup il vit des corde qui se balacaient contre le mur des remparts

comment diable est ce possible il refixa tilm et chuchota des traitres

les brigand saffairerent contre les murs en silence ils etaient une bonne trentaine au moins
il commencerent a grimper rapidement sans bruit

tilm va rejoindre ellierim et max la bas je vous rejoindrais jecoute en core des bruits 50 metre en arriere dans le bois surement la deuxieme vague
va vite voir ce quil en est et revien s vite me le dire je reste surveiller ce groupe

til? fais attention je tiens a toi

Aïe Aïe ! ça se corse ! T'inquète pas bebert je ferais attention !!

Elle se mis à ramper dans la direction du bosquet pour très vite s'apperçevoir qu'elle aurait peut-être dû faire un léger détour..
C'est à travers les ronces qu'elle finit par rejoindre Ellierim et ..Kevin

Ah t'es là Kevin ?? et Max il est où

Elle enlevait les épines assez nombreuses en faisant la grimace...

Et de mierdaa ! Pff domage pour mes beaux habits !!

Elle regarda les autres

Il faut y aller vite et leur mettre la pâté hein? Bebert est de l'autre côté on y va hein ? on y va?

Elle tenait son baton serré et se sentait prête à en découdre

[post copié et coller a la suite du sieur Boursiero merci]

[en Bas des remparts Est dans les Bas Quartier...]


Le signal de la curée était lancé. Tandis que cinq brigands se lançaient a l'assaut discret, profitant de la diversion, de la grande herse leur ouvrant les portes de la ville, les autres marauds se livraient au pillage. Tres vite rejoinds par les guildes autochtones leurs nombres avait a présent presque doublé.
PArtout dans ce quartier on assistait au meme scène : habitants battus a mort et trainés dehors de chez eux, des cris d'horreur, un peu partout des débuts d'incendie.
Des flots de sangs coulaient dans les rues entrainant avec eux la phange accumulée depuis le dernier Orage. les soldats n'avaient pas réagi et a présent la ville était en proie au pillage ....

Il fallait coute que coute sauver la villle et ses habitants ainsi que le Chateau a présent menacé.

Bon. on va pas rester dans les plantes !!

Til guettait anxieusement le signal de Bebert losqu'elle le vit,faisant le sémaphore et partant bille en tête dans la bataille

On y va !!
Je prend le plus petit à gauche ...paske chui une fille..


et elle partit derriere un jeune combattant, et profitant de l'effet de surprise lui sauta dessus par derriere.
elle lui trancha la gorge d'un coup!

pas très sport mais bon, suivant !

Lorsqu'elle leva les yeux elle vit qu'il s'agissait en fait d'une véritable invasion : elle en voyait une dizaine , peut être plus. Til regrettait de ne pas avoir pris un arc : elle ne se voyait pas trop dans un corps à corps..

Corsino et ses frères avaient tous degainés leurs miséricorde qui chantaient dans l'air leur lugubre refrain, pleurant en meme temps des larmes de sang.

Tout se deroulait avec une facilité déconcertante. Lyon la rugissante qui avait enlevé tant de frères a Corsino était a présent aporté de sa lame. Les flammes dansaient devant lui comme dans un sinistre spectacle auquel le brigand prenait énormément de plaisir.
Les richesses était la a porté de mains. PArtout ce n'était que cris et souffrances entrecoupés parfpis par les rires démoniaques des marauds en fetes.

Tant de façilité déconcertait Corsino. Ou était les soldats ? Avaient ils déserté la ville ? Il y avait quelquechose de déconcertant a cette absence Corsino avait un mauvais présentiment.
Attentif au moindre bruit il se méfiait des ombres et des embuscades que pourrait leur tendre les soldats postés ou cachés dans la ville.

un bruit alerta le vieux bandit :

Citation :

On y va !!

Qui allait y aller ? les soldat pour sur !! Ils étaient donc bien la ces couards. Ils attendaient juste le bon moment pour attaquer. La situation n'était pas tres reluisantes pour Corsino. Attirés par le pillage les brigands s'étaient aventuré dans la ville se coupant toutes retraite spar les remparts au cas ou. De plus les Soldats s'il s'en fiait a son ouïe lui barrait a présent le passage. Une rapide analyse de la situation s'imposait. Il était clair que les brigands aussi nombreux soit ils ne feraient aps le poids contre cete garnison bien entrainé et mieux équipés. De fait deux solutions soit ils les affrontaient pour tenter de les vaincre coute que coute, soit ils se rendaient tout de suite en éviant de perdre encore plus d'hommes. Se rendre pas question !! Corsino choisis donc d'affronter les soldat pour regagner les remparts. De la ils pourraient prendre un fortin ou une tour de garde et preparer soit leur évasion soit leurs rédition.

Il fallait donc encourager les hommes a combattre ses soldats qui leurs barraient le passage aux remparts.

SUS AUX SOLDATS MES FREREEES !! CES CHIENS NOUS BLOQUENT TOUTES RETRAITES !! AYOOOOOOOOOOOOOAHHHH !!

(hrp nous sommes a présent en combat ceux qui viennent me preciseront a ala fin de leur rp un chiffre de 1 a 5 déterminant l'isu d'un duel avec un bandit qui vous foncera dessus ou vice et versa. bon courage)

Fhar alerté par L'archer Chloris se depecha d'arriver sur les lieu depechant au quatre coins de la ville des coursiers rameutant ses hommes.
A son arrivée son regard se glaça d'effroi. Les brigand étaient nombreux et se livraient au pillage. Un incendie s'était déclaré et la ville semblait céder a la panique.
Pire la position des soldats deja présent semblait avoir été découverte et quelques brigands fondaient sur leurs position.

Si l'on ne fait rien c'est perdu !!

Fhar se controlait pour ne pas céder a la peur. Non ces hommes comptait sur lui il se devait d eles mener aux combats.

ARCHER EN POSITION SUR LES REMPARTS VISEZ MOI CES CHIENS !!

COUTILIERS EN RANG SERRES PRET A SUBIR L'ASSAUT ARMES D'HAST BAISSEES !!

HOMMES D'ARMES EN SECONDE LIGNE PRET A DEFENDRE LES COUTLIERS ET A CONTRE ATTAQUER AVEC EUX !! CHEF DE LANCES VOUS COORDINEREZ L'ATTAQUE SUR LE TERRAIN !! EXECUTION .

Fhar prit son arbalètes et se plaça a coté des archers pour qui et pour nombre d'entre eux c'était le premier combat.

Chloris se sentait un peu rassurée depuis l'arrivée du Seigneur Fhar, enfin rassurée était un bien grand mot....pour elle c'était son premier combat, elle avait peur mais ne le montrerai pas....

Elle s'était postée à côté de Fhar, il fallait qu'elle soit à la hauteur, elle prit son courage à deux mains pointa son arc en direction des brigands et c'est à ce moment là qu'elle vit avec effroi le nombre qu'ils étaient...Des dizaines et des dizaines, ils affluaient de partout....

C'est à ce moment là qu'elle entendit un hurlement, cela devait surrement être le chef de ces brigands....

Citation :

SUS AUX SOLDATS MES FREREEES !! CES CHIENS NOUS BLOQUENT TOUTES RETRAITES !! AYOOOOOOOOOOOOOAHHHH !!

Des gouttes pèrlaient sur son front, il fallait tenir bon tous les villageois comptaient sur eux....

Elle pointa son arc en direction des brigands et décocha une flèche.....


(Numéro 5 pour moi )

bebert attendait le rapport de tilm quand il lecouta hruler a lasaut

merde elle est folle
bebert se releva essayant d'appercevoir tilm au travers des fourrés il la vit se jeter sur un homme et l 'egorger

merde dit til encore quelle hardiesse!

que devait til faire il etait esseulé mais invisible il se saisit de son arbalete planta ses carreau x dans lherbe

il se retourna face au mur du chateau et visa les trois bandit qui grimper au corde

toujours trois de moins que chloris naura pas sur le dos il sefforca de pas bouger aligna la gorge de l'arbalete et debloqua la corde

pfiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiittttttttttttt!!
pfiiiiiiiiiiiiiiiiiiiitttttttttttt!!
pfiiiiiiiiiittttttttttttt!!



(2 pour moi)

ARCHER EN POSITION SUR LES REMPARTS VISEZ MOI CES CHIENS !!

COUTILIERS EN RANG SERRES PRET A SUBIR L'ASSAUT ARMES D'HAST BAISSEES !!

HOMMES D'ARMES EN SECONDE LIGNE PRET A DEFENDRE LES COUTLIERS ET A CONTRE ATTAQUER AVEC EUX !! CHEF DE LANCES VOUS COORDINEREZ L'ATTAQUE SUR LE TERRAIN !! EXECUTION .

Til tourna la tête et apperçut les autres soldats !
Se baissant vite fait pour éviter un projectile, elle vit du coin de l'oeil que les bandits aussi l'avaient vue et 2 gros biens inquiétants se dirigaient droit sur elle.. Elle profita de son avance et, refusant le combat, se mit à courir vers sa troupe qui arrivait à point nommé.

Elle se mit en position réalisant par la même qu'elle était, par son statut de courtilier, bien devant, aux premières loges de la bataille..

j'aurais dû prendre un arc... j'aurais dû prendre un arc..

et serrant son bâton elle se prépara à faire bloc face au premier assaut

Elle pointa son arc en direction des brigands et décocha une flèche..... Arf premier tir raté...mais elle ne perdit pas son sang froid, elle planta à terre une série de 6 flèches....

Elle prit la première flèche, pointa son arc en direction des brigands et tira....elle recommença autant de fois que le nombre de ses flèches...

Je vais les dégommer se dit Chlo.


(Numéro 4)

Elle entendit Bebert, et attrapa le baton du bout des doigts alors qu'au même moment le gros de droite se jeta sur elle ; elle n'eut que le temps de se baisser se laissant glisser le long de la lance jusqu'au sol et c'est lui qui vint se planter dessus..
Til ne bougeat pas . La lance se fit plus lourde et s'arracha de ses mains: le corps tomba devant elle.

ça y est! j'ai peur ...

Elle restait accroupie à coté de .. qui déjà ? Elle avait si peur qu'elle n'arrivait plus à penser.

finalement, elle entreprit de dégager la lance du corps mais elle était bien coincée, elle dû se lever pour y arriver;

c'est pas vrai... allez, allez...

La lance vint d'un coup la mettant sur le cul !! Elle roula sur elle même jusqu'au mur : juste à temps pour eviter un autre malandrin qui lui tombait dessus, déjà mort... refroidit par Bebert

Wééé vasy bebert!!

Elle resta dos au mur esperant être un peu invisible

(3)

[Rue Saint-Jean - Place du Change]


Il stoppa sa monture derrière lui, et s'arrêta au coin de la rue. Au loin, il vit encore deux ombres, puis encore trois autres passant la ruelle. Dans le faubourg, une fumée se dégagea, avant de voir les premières flammes et des cris. Dans l'instant, il dégagea une des épées enroulée à l'arrière du cheval et se mit à courire vers ledit lieu, poussant avec sa garde un homme qui à son tour passait la ruelle.

Avant d'entrer dans le Faubourg et parcourir les traboules, des cris sortirent des remparts, en direction de la porte Est, là aussi, en contre bas, de la fumée et des flammes. Il fallait bien s'en rendre compte, la ville était attaquée.
Il fallait faire au plus vite, prendre le passage intérieur devant lui, et une fois nettoyer, prendre la direction de la Place St-Jean faire sonner les cloches de la Primatiale.

Epee en arrière garde pour prendre de l'élan et avoir un coup plus puissant, il se lança à l'assaut contre les brigands...


(4)

Coco arriva enfin sur les remparts. Ce qu'elle y vit alors la glaça d'effroi. Les brigands arrivaient de toutes parts. Heureusement, les soldats étaient à présent bien positionnés aux endroits stratégiques.

Coco alla rapidement prendre place aux côtés de Fhar et de Chloris. Elle avait un peu d'appréhension, c'était sa 1ère bataille. Mais il ne fallait pas hésiter. Ses amis étaient en danger, la ville aussi, il fallait y aller.

Elle aperçut Til qui était dans une position difficile. Celle-ci était dos au mur et se pensait en sécurité. Malheureusement, un brigand approchait et elle allait se retrouver prise au piège.

Coco prit son arc, y inséra sa 1ère flèche et visa comme elle l'avait fait si souvent lors de l'entrainement.
La flèche alla se planter dans l'épaule du brigand qui hurla de douleur.

Dépêches-toi, Til, dégages-toi.

Les brigands arrivaient encore, mais il semblait que leur nombre diminuait.

Coco continua à lancer ses flèches.

(3)

Til ne bougeait plus, elle était tétanisée. c'était son premier combat... En entendant son nom elle tourna la tête elle vit un guerrier stoppé dans son élan par une flèche de Cocoleri !!

Dépêches-toi, Til, dégages-toi.

Piuf! c'était juste ! Merci Cocoleri !

Reprenant ses esprits elle se jeta sur l'épée du maraud, qui n'était plus en état de protester, et se lanca dans la bataille.
Elle fit un écart, juste à temps, pour laisser passer Boursiero qui fonçait sur deux gars qui n'en menaient pas large et reculaient pour tenter de fuir. Kevin, plus loin se battait comme un beau diable. Partout ça se battait, il y avait même des villageois qui, encouragés par la présence des soldats, se retournaient pour faire face.
Les voleurs faiblissaient. Ceux qui étaient encore debouts bataillaient en cherchant une issue du regard.