[RP] Entre Die et Chambery : Vizille.

A vos ordres, Archer Mad !

Colchique ayant déposé son casque et son encombrante pique non loin de lui (on ne sait jamais), se dirigea vers le bois jouxtant leur bivouac. Dégainant sa miséricorde, il coupa trois branches fourchues dont il épointa les extrémités. Puis il planta en terre deux d'entre-elles, de part et d'autre du feu. Saleté de vent ! pesta-t-il recevant des escarbilles dans les yeux.
Cet ouvrage achevé non sans mal, il sortit de sa besace une magnifique poularde qu'il avait acheté au marché de Dié. La marchande l'avait aimablement éviscérée sur son étal. Embrochant l'animal sur la troisième tige de part en part, il commençait à saliver (le repas du matin n'était qu'un lointain souvenir).
Les flammes ayant baissé d'intensité, il disposa la broche sur les deux autres piquets. Ayant pris la précaution de couper une longue branche, il n'eut aucun mal à tourner régulièrement la broche, sans se brûler. Puis, il disposa près de la braise quelques chataîgnes qu'il avait ramassé en chemin. Ce petit supplément ferait sans doute la joie de ses compagnons d'arme...
La chaire commençait à croustiller et un petit cercle se forma autour du feu, alléché par le délicat fumet.

Quand tout fut prêt, le marmiton d'occasion, le sourire aux lèvres annonça à la cantonnade :

L'oiseier s'exécuta prestement,
jugeant du sens du vent
il placa le campement
de maniere a ne pas subire cet élément.
Choisissant un endroit sans humidité,
et sans trop de cailloux, d'aspérité
mais asser tendre pour les piquet planter
un endroit pour dormire en toute félicité.
Il savait qu'il fallait bien se reposer
les courts moments ou le corps pouvait se poser
meme si on etait toujours en alerte
la ou tout pousse a notre perte.
la nuit, celui qui etait ami,
peut devenire ennemi
ou ce qui etait animal
peut devenire bestiale.

L'oiselier avait décidé de son départ sur le tard, en effet les jeunes n'avaient point été trop décidé pour cette mission.
Alors il s'était porté volontaire pour soulager, ceux qui avaient beaucoups donné de leur personne ces derniers temps.
Il avait laissé un message en la cure de Dié signalant a la bonne son départ, et prévenu la bourgmestre croisée en taverne pour ne pas que ses ouailles ne s'inquiètent.
Il savait qu'en tant qu'évèque il aurrait put demander une escorte a la garde épiscopale mais cela aurrait été un comble.
Et puis avec Lotus il était en sécurité.
L'avantage de sa situation c'est qu'il n'avait pas du soldat le lourd attiraille.
Il compensa donc la charge par moultes victuailles, Il prit une simple crosse de bois. Ne voulant attirer les voleurs sur la riche crosse liée a la cathédrale de Dié.
Il n'avait pas trop suivi l'objectif de la mission, aussi durant la route il songeat :

Plutot que de me meler de mes Oignons
j'aurrais du m'intéresser a la mission
Ca va j'ais la patate,
même si mon dernier entrainement date.
J'éspère qu'on ne nous ont pas monté un fromage
et que c'est pas pour rien qu'on voyage.
Ah si on cherche une certaine tartiflette
mais je ne connais point cette jeunette
A qui appartient ce lardon,
sans doute pas l'engeance du premier tartempion
elle doit faire partie de la creme
pour que Lotus face le voyage elle même...


Mais il fut vite ramené a la dure réalité.

Vu le froid qu'il fait, on va essayer de trouver une grange qui sera notre base.
Et on se relaiera pour surveiller le passage.
Je vous laisse vous occupez de ça, il faut que je fasse boire Tonnerre.
Essayez de négocier une grange avec un des paysans du hameau.
Je vous rejoindrais sous peu.

L'Oiselier, accepta, et se dirigea vers les lumiéres des bougies qui vascillaient aux fenêtres.
Il escomptait sur la charité Aristotelicienne, mais espèrait ne point être reconnu, cela dit comme peu connaissaient sa promotion il y avait peu de chance.
Il se dirigea vers la première maison, et que Dieu lui pardonne il mentit pour le bien de la Mission.

Bonsoir, nous sommes de povres pélerins qui montons vers Lyon, dormire c'te la nuit en votre grange, on partira dés le levé du soleil.

L'homme le regarda de pied en tête, et ne voyant point de menace en ce voyageur qui effectivement ressemblait ni a un soldat, ni aun brigand

Ben j'veut bin mais vous degagez dés le matin, et vous foutez pas le bordel ou on vous retrouvera pour vous pendre.

Bien ne vous inquiétez pas on ne vous causera point de tors, au faite savez vous si les chemins sont sures

Nous on en a que faire des routes, et des voyageurs. Occupez vous de vos affaires ou dégagez.

Alors merci pour l'Hospitalité.

L'Oiselier repartit alors coupant la la conversation. Apparemment l'autoctonne les laissait dormire ici plus par peur, que par hospitalité. Il installa donc le camps, dans la grange et commensa a préparer de quoi diner.

Une fois que sa bête eut étanché sa soif, Lotus revint vers le hameau.
Elle repéra la porte ouverte d'une grange et y jeta un oeil.
Oiselier s'affairait avec quelques victuailles. Elle entra avec Tonnerre et demanda :

Tu n'as pas eu trop de mal à débusqué ce gite ?
Je vois que pour le couvert nous serons en autonomie...

Elle rigola un peu tout en conduisant son cheval un peu plus loin. Elle lui enleva tout ce qui était accroché à lui, selle comprise puis se mit à l'étriller. Lorsqu'il fut tout beau, tout propre elle farfouilla dans la grange en quête d'un stock d'avoine. Elle ne tarda pas à en trouver et en remplit un seau qu'elle apporta à son frison.

Elle revint vers Oiselier et lui demanda :

Tu as négocié un prix pour le logement ?
Faudra que j'y ajoute la ration d'avoine...

Elle regarda autour d'elle, plissa les sourcils :

Il est passé où Raphael ?

Tu n'as pas eu trop de mal à débusqué ce gite ?
Je vois que pour le couvert nous serons en autonomie...

Tu sais j'avais de la place, et je me sentais léger, alors j'ais compenser la charge. Et puis si tu veux trouver la tartiflette on aurra que peu de temps pour chasser et en autonomie on attire moin l'attention.

L'oiselier servit du lard fumé, et une choppe de bière. Pendant que Lotus s'occupait de sa monture.

Tu as négocié un prix pour le logement ?
Faudra que j'y ajoute la ration d'avoine...

Pour cette nuit le gîte est gratuit, j'ais demandé l'hospitalité Aristotélicienne pour de pauvres pélerins.
L'autoctonne n'avait pas l'air trés bavard, je pense qu'ils se méfient des voyageurs. Ils ont du souffrire du brigandage.
Peut-être seront ils plus bavards face a un représentant de l'Ost. Surtout face a ton argent pour l'avoinne, par contre si tu vas les voir, fait comme si tu me connaissait pas. Je pourrais éssayé de voir demain s'ils parleraient a un moine cistercien.
Pour ce soir c'est repas froid, je ne désire point mettre le feu a la grange. Et je n'ais point eu le temps de préparer une soupe.

Elle regarda autour d'elle, plissa les sourcils :

Il est passé où Raphael ?

Je le croyais parti avec toi, pour quérire de l'eau fraîche.

Lotus écouta Oiselier tout en opinant du chef. Elle fronça par contre sérieusement les sourcils concernant Raphael.

Par Aristote... où c'est qu'il a encore bien pu se fourrer celui là...

Elle soupira, son expression favorite du moment, puis ajouta :

On va manger.
Si il ne nous retrouve pas on le retrouvera bien en repartant...

Lotus engloutit le lard fumé avec délectation

Il est royal ce lard... c'est toi qui l'a fait ?

Une fois le repas engloutit Lotus bailla au corneille et lança :

j'irais voir le propriétaire demain pour ce qu'on lui doit et je lui demanderais si il sait où on peut trouver la tartiflette...

Baillant encore, elle repéra un petit coin douillet dans le foin où elle alla se vautrer pour la nuit.


[Le lendemain]

Lotus se réveilla comme toujours aux premières lueurs de l'aube. Elle avait sacrément bien dormi vu la longueur des nuits automnales.
Étirements des orteils, des pieds puis des jambes, étirements des doigts, des mains et des bras, étirement du tronc, des épaules et du coup, et hop là ! elle était sur pied !

Elle sortit de la grange, secouant les restes d'herbes séchées et tomba nez à nez avec le paysan du coin.

Le bonjour !
Vous êtes le propriétaire de la grange ?

L'homme la dévisagea de la tête au pied et des pieds à la tête et lui lança :

Qu'est-ce vous faite là ?
z'avez pas la tête d'un pélerin...

Je me présente Lotus Monbazon Navaille, Dame de Genay et de Ferrassières, Seigneur des lances de la garnison dioise

Tout en disant ces mots elle continua quelques mouvements d'étirement, un coup à droite, un coup à gauche.

L'homme écarquilla les yeux à un point tel qu'elle crut qu'ils allaient tomber de leurs orbites, ce qui calma instantanément ses mouvements de réveil.

z'êtes pas un pélerin...

Elle se souvint illico des paroles de son filleuls :

Je ne suis point pélerin, par contre j'ai croisé un homme de foi dans la grange...
En parlant de la grange... J'ai pris la liberté de servir un seau d'avoine à mon cheval.
Vous me direz combien je vous doit pour la peine.

La bouche de l'homme s'ouvrit sur une expression béate et incrédule, le temps d'évaluer le jackpot qu'il avait devant lui il articula :

ça f'ra dans les 125 écus...

Elle failli s'étrangler avec sa salive :

Dites donc mon brave faudrait pas prendre pour une vache à lait...
je vous en lâcherais 25 et ce sera déjà plus que royal.
On est quand même là pour sécuriser le secteur, pas pour se ruiner...

ben... z'avez quand même des terres...

Parce que vous croyez que la lavande de Ferrassières s'exporte hors de mes terres ???

Voyant que le regard vert et pétillant de la Dame avait viré au noir ténébreux le brave homme préféra revoir à la baisse son prix :

oui z'avez raison... 25 écus me contenteront...

Elle sortit de sa bourse la somme et demanda encore :

Et sinon vous savez où on peut chasser la tartiflette ?

Le paysan éclata de rire à un point tel qu'elle crut qu'il allait passer l'arme à gauche. Le pauvre homme ne se remettait de sa crise de rire.
Un peu paniqué elle se mit à gueuler :

Oisel !!! rappliiiiiiique !!!! viiiiiiite !
On a une extrême onction possible là...

Par Aristote... où c'est qu'il a encore bien pu se fourrer celui là...

Aristote n'y est pour rien Lotus

On va manger.
Si il ne nous retrouve pas on le retrouvera bien en repartant...
Il est royal ce lard... c'est toi qui l'a fait ?

Oui quand mes obligations a droite ou a gauche me le permettent, je travaille la viande, que ce soit ta viande bovinne.
Ou le cochon, que je fais fumer dans la cheminée, mon âtre est ainsi rentabilisé.

j'irais voir le propriétaire demain pour ce qu'on lui doit et je lui demanderais si il sait où on peut trouver la tartiflette...

L'Oiselier rangeat alors ces affaires, puis fit sa prière, avant de sombrer dans un sommeil bien mérité, l'air de la montagne savait être fatigant autant que vivifiant.

[Le lendemain]

Oiselier, levé a l'aube était resté de son coté de grange. Il avait mit son habit blanc et se donnait la messe du matin.
quand il entendit Lotus l'appeler


Oisel !!! rappliiiiiiique !!!! viiiiiiite !
On a une extrême onction possible là...

L'oiselier se hata, donc d'aller vers Lotus sans réfléchire. Il arriva auprés d'elle en aube avec sa Tiare sur la tête et le calice a la main.

Il est ou le mourrant ?

Le paysant qui s'ettouffait de rire, se calma aussi vite, ne comprenant plus rien.

Mais vous vous foutez de ma gueule qui vou'z' êtes vous ?

Je suis votre nouvel évèque Monseigneure Oiselier, je fais le tour de mon évèché pour voir la ferveure en notre Trés-Haut, et j'ais fortement apprécié votre charité.
Sans vouloir abuser de vostre temps je cherche aussi une certaine tartiflette.
Pourriez vous me dire ou on peut la trouver ?

Le pôvre paysant resta coit, ne sachant plus quoi penser face aux deux personnages improbables qui étaient face a lui.
Il ne devait savoir s'il rêvait, ou si quelqu'un se moquait de lui et de sa naïveté.

L'oiselier cru bon de devoir s'excuser du pieu mensonge qu'il avait fait la veille, pour ne point déranger les âmes du hameau.

oui ^^

( hrp : souci d'ordi, sais plus selectionner, ni rien, j'ai demander a somica de taper le texte que j'ai poster qui sagnalais que je vous avaient retrouver retrouver mais aparement vous pas ^^, desoler je me debrouille comme je peux, demain je recupere mon ordi demain, on fera les retrouvaille demain )

[t'es allé dans une auberge, pas nous c'est pour cela qu'on ne t'as pas vu. On te retrouvera autour d'un verre de Genepi]

Lotus écouta Oiselier un peu désolé pour ses oreilles, mais très intéressé par un petit rafraichissement guttural...

Mais c'est une excellente idée que voilà...
Pour ne pas faire paniquer tes ouailles, on leur dira que je t'escorte et qu'on recherche ton enfant de chœur qui s'est perdu.

Elle regarda Oiselier, fronçant légèrement les sourcils et ajouta :

Ce n'est pas vraiment un mensonge, une légère déformation de la réalité...

Comme elle avait crié bien assez fort, trois tête était collé derrière une vitre et les observaient.
Elle fit un signe de la tête en direction de la fenêtre et dit à Oiselier :

On va aller voir ceux là pour commencer, si ça se trouve ils savent faire la tartiflette...

Lotus mit pied à terre et se dirigea vers la lourde porte de bois qu'elle martela bien fort.
Une petite femme qui avait largement passé 3 fois ses 20 printemps entrebâilla la porte et chevrota :

Oui ? Qui êtes vous ? que voulez vous ?

Le bonjour la vieille.
Je suis Lotus Seigneur des Lances de Die à la recherche du coutilier Raphael

La vieille n'ouvrit pas d'avantage la porte et Lotus devina même la présence d'une autre personne derrière la porte. Elle avait vu passer une ombre. Aussi elle ajouta rapidement :

et voici Monseigneur Oiselier, Evêque de Die.

Formule magique quand tu nous tiens...
La porte s'ouvrit en grand et la vieille s'exclama :

Monseigneur quel honneur...
Entrez donc vite vous réchauffer, il fait un froid de canard

La vieille s'effaça pour laisser entrer Oiselier. Lotus le suivit naturellement et la vieille la toisa du haut de sa petite taille, ce qui aurait pu porter à rire si elle n'avait eu cette expression si furieuse dans le regard. Du coup Lotus s'arrêta net dans son élan pendant que la vieille lui disait :

Allez donc mettre votre bête dans l'étable, Normand va vous montrez où c'est...

Le gars sorti de derrière la porte après avoir posé ce qu'elle identifia comme une hache au vu du son de l'impact contre le sol puis contre le mur. Ils n'avaient pas l'air d'un naturel accueillant dans le coin...
L'homme la salua vite fait d'un signe de tête et la guida jusqu'à l'étable sans décoincer un mot.
La soirée s'annonçait joyeuse...

Elle le remercia puis s'occupa de Tonnerre, prit son bardas et suivi à nouveau le gars qui n'avait toujours pas décoincé un mot malgré les innombrables questions que Lotus lui avait posées.
Il était muet, mais cela elle ne pouvait pas le savoir...

En entrant à nouveau dans la bâtisse, elle jeta un oeil derrière la porte et constata que la hache était de bonne taille... Elle vit Oiselier confortablement assit à la table en pleine discussion avec la vieille.
Elle s'installa à son tour, le plus discrètement possible.

Mais c'est une excellente idée que voilà...
Pour ne pas faire paniquer tes ouailles, on leur dira que je t'escorte et qu'on recherche ton enfant de chœur qui s'est perdu.
Ce n'est pas vraiment un mensonge, une légère déformation de la réalité...

Tu parles d'un enfant de coeur, oui un terrible qui cours dans la cathédrale, qui pique mon vin de messe et qui roupille quand j'ais besoin de son assistance.
D'accords il y a ressemblance il picole, et dort en place de couvrire nos arrière, puis on doit lui courrire aprés. Pour peu qu'on le retrouve dans la couche d'une paysanne se sera la totale.

On va aller voir ceux là pour commencer, si ça se trouve ils savent faire la tartiflette...


Oui ? Qui êtes vous ? que voulez vous ?

Le bonjour la vieille.
Je suis Lotus Seigneur des Lances de Die à la recherche du coutilier Raphael
et voici Monseigneur Oiselier, Evêque de Die.

Monseigneur quel honneur...
Entrez donc vite vous réchauffer, il fait un froid de canard


L'Oiselier pensa, ouf ils sont Aristoteliciens, et trés fervents, l'acceuil devrait être bon.

La vieille s'effaça pour laisser entrer Oiselier. Lotus le suivit naturellement et la vieille la toisa du haut de sa petite taille, ce qui aurait pu porter à rire si elle n'avait eu cette expression si furieuse dans le regard. Du coup Lotus s'arrêta net dans son élan pendant que la vieille lui disait :

Allez donc mettre votre bête dans l'étable, Normand va vous montrez où c'est...

Le gars sorti de derrière la porte après avoir posé ce qu'elle identifia comme une hache au vu du son de l'impact contre le sol puis contre le mur. Ils n'avaient pas l'air d'un naturel accueillant dans le coin...
L'homme la salua vite fait d'un signe de tête et la guida jusqu'à l'étable sans décoincer un mot.
La soirée s'annonçait joyeuse...

L'oiselier ne se senti pas rassurer de perdre son escorte, mais le colosse était sorti.
En entrant il prononca une bénédiction.

Que le Trés-Haut bénisse cette maison et ces habitants, chassant au plus loin les envoyés de la créature sans nom.

Puis suivi la vieille, elle s'empressa de lui demander confesse, lui expliquant que ces vieux os ne lui permettaient plus d'aller aux messes, qu'elle avait de la colère contre sa brue et quelques pêchés de gourmandise. Il lui pardonna ces pêché l'invitant a réciter dix Credo pour expier. Et lui promit de lui donner la messe dés que lui et sa garde aurraient repris des forces.
Incidueusement il lui souffla, pour flatter son orgueil, qu'il avait ouie dire qu'il y avait ici une délicieuse recette appelée Tartiflette. Et qu'en homme curieux, il aimerait bien la gouté.

La vieille ne sachant comment gagner son Paradis, et fiere qu'un évèque s'intéresse a sa cuisinne, sauta sur l'occasion et invita l'évèque a passer a table.
puis lui offrit un verre de vin pendant que la brue commencait a s'afférer. Puis vint lui parler de sa vie Pieuse, et des malheurs de sa famille, son fils infirme...
Il Appercut Lotus qui entrait discrètement.
Il invitat donc la vieille a parler du pays, et des voyageurs ....