[Lieu] Guet - Estranger, Recrues , présentez vous !

Dernière édition par Aldraien le Mer 15 Oct 2008 - 8:45, édité 1 fois

*Douleur...J'ai mal...*

Ald, toujours inconsciente, voyait dans ses rèves sa fille se faire massacrer par des barbares, meurtre suivit par ceux de ses amis, assasinés sous ses yeux après avoir été torturés...Elle hurlait, mais aucuns sons ne sortaient de sa bouche...seules ses larmes montraient son impuissance et son immense tristesse...Puis les barbares s'en prirent à elle, la maltraitèrent, la ruèrent de coups, la coupèrent....avec un sang froid et un plaisir à faire du mal incommensurable...
Soudain une main l'attrapa et la tira hors de portée des barbares, ils disparurent et se fut le noir total...La douleur s'était un peu atténuée, du moins elle ne sentait plus son sang couler...

*Ma fille...Je veux la revoir...Indy...*

Puis elle pensa à une autre personne, la personne à qui elle tenait le plus après sa fille...Un ami qui se trouvait en ce moment loin, loin de ce champ de bataille, loin d'elle, à Castres...
Elle voulait se réveiller, se relever et retourner tuer ces barbares qui avaient fait souffrir tant de gens...Peut-être ses compagnons étaient blessés, peut-être avaient-ils besoin d'aide et elle ne pouvait rien faire...Sa blessure la faisait atrocement souffrir, malgré le fait qu'elle soit évanouie, l'entaille était profonde, la lame avait lacéré tout son bras gauche et en avait profité pour rouvrir une ancienne cicatrice...Ald n'avait qu'une hâte, que la bataille soit finit pour qu'elle puisse revoir tout ses amis....

Akron ne compris pas vraiment ce qui lui arrivait. Un instant il parlait avec sa soeur, essayant de démèler la situation et la seconde suivante il regardait bêtement son ventre d'où seul le manche de la dague dépassait encore et releva des yeux étonnés sur Ingomère

"Ma soeur ...pourquoi ?"

Il reporta son attention sur la blessure, sentant ses forces l'abandonner à une vitesse phénoménale. Pouvait-on survivre à une telle blessure ? Il n'en avait absolument aucune idée. Etrangemenent, il ne ressentit sur le moment aucune douleur. Ses mains étaient chaudes et poisseuse de son sang et des étoiles dansaient devant ses yeux, il avait la nausée mais le mal n'irradiait pas en lui. Cela ne tarderait sûrement pas. Il releva la tête, pensant ne jamais réussir à terminer ce geste tant il lui demandait d'efforts et porta son regard sur sa soeur. Il ouvrit la bouche une fois, deux fois, mais aucun son n'en sortit. Il avait même du mal à se rappeler ce qu'il voulait dire. N'était-on pas censé trouver des paroles héroïques dans ce genre de situation, des paroles restant pour toujours dans l'histoire avant de passer dans les légendes ? Akron en tout cas n'ouvrit plus la bouche. Il sombra dans l'inconscience, basculant de côté sans vraiment tomber, ses pieds coincés dans les étriers. Goutte à goutte, la vie s'échappait de son corps

[bon comme je vois la suite du rp, ce n'est que mon avis , soit ça termine par la destruction d'un des camps, soit par une retraite, des germains courrant la campagne où nous nous retranchant derrière nos murailles. Bon pour le moment continuons encore les rp "individuels" mais on devra tôt où tard redonner une direction générale ]

La bataille faisait rage, le sang giclait, le bruit sourd de l'acier qui s'entrechoque, les boucliers qui voles en éclats aux coups de lourdes épées et de haches, les cris de parts et d'autres et puis... le son d'un cor... au loin, derrière la colline. Certains continuaient à se battre, d'autres au contraire se retournèrent et ceux-là pu voir alors apparaître un groupe de cavaliers.

Ils n'étaient guère nombreux, six, peut-être sept soldats au loin. Le message d'aide était parvenu jusqu'à la capitale, qui avait dépêchée un groupe de gends d'armes.

Ils étaient là, présent à l'appel et volontaire plus que jamais à en découdre. A ses côtés, ses fils et filles comme il avait l'habitude parfois de les appeler. Les soldats sortirent leurs armes, lances, épées. Lui-même sortie sa lame du fourreau, esquissant un léger sourire, jetant un dernier coup d'œil malicieux à droite puis à gauche vers les cavaliers.

Ne tardons pas... sans quoi nous n'en n'aurons plus ! Lança-t-il en rigolant.

Un moment de silence, sans doute de concentration, il se tourna vers les soldats, et brandissant sa lame sur l'ennemi aux portes du Castel... A MOOORT !!! Tirant dans le même temps un vif coup sur les rênes, commençant un galop en direction du champ de bataille, pointe en avant.

jaco arriva a l'endroit ou son CDL lui avait dis de se rendre ,un désastre ,une tuerie, des corps gisaient a terre , des morts ,des blessés , il eu un haut de cœur devant autant d'atrocités ,cela lui passa rapidement c'était lui ou l'autre voyant au loin Mac, il le rejoignis au triple galop afin de coordonnés ces ordres
Mac , je suis la il donna par-ci, par-la des coups d'hallebarde se protégeant de son bouclier

Malgré les combats, malgré le sang, malgré les cris,... Erestie avait toujours un œil sur son Seigneur des Lances Akron.

Cette femme...

Que pouvaient-ils bien ce dire en temps de batailles?

La scene étrange le devint encore plus lorsqu'il vit son SDL, dague plantée dans sa chair, ne plus trop être conscient... Comment avait-elle osée?

Le Perse abandonna lâchement son adversaire Germain, courant à vive allure en direction d'Akron tout en poussant des cris de rage. Mais les soldats bloquaient le passage, il ne faisait plus attention à rien, un coups d'épée pouvait se faire sentir dans le ventre du Perse d'une seconde à l'autre. Il avait beau essayer de se faire un chemin entre les combattants, rien n'y fit... Poussant malgré tout tout homme sur son passage avec violence, François et Germains, il était encore loin d'Akron.

Marg ... kheyr !!!!!!!!

Le Perse se jura que cette femme paiera...

C'est dans le noir total de la semi-conscience que des cris de rage et des fracas d'armes semblaient provenir du lointain. Frutass ouvrit les yeux et porta une main sur son front. Elle sentit le liquide rouge et poisseux entre ses doigts. Elle regarda la paume de sa main rougie par son sang, puis se remémora avec difficulté les derniers moments de sa conscience. Elle se redressa. Ses côtes droites lui firent un mal de chien. Serrant les dents elle porta sa main gauche sur son flanc puis regarda autour d'elle. Elle vit allongé sur sa droite, à quelques pas, l'homme qui lui avait passée une avoinée. Apparemment, quelqu'un était passé par là.

Posant un genou au sol elle ramassa sa dague et la remit au fourreau, puis trouva son fauchon un peu plus loin. Elle le ramassa également et le tenant dans sa main droite, ballante, elle avança au milieu du champ de bataille. Elle étouffait sous sa barbute. Elle l'enleva et la jeta au sol. Son esprit marchait au ralenti, alors qu'elle déambulait dans une sorte de no man's land. Deux groupes de combattants s'étaient formés, un au pied du Castel, l'autre plus en campagne, combattant contre Debrinska et Argael. Frutass regarda les deux groupes, puis se dirigea vers celui du Capitaine.

Elle arriva dans le dos d'un Germain. Elle attrapa sa dague de sa main et la lui planta droit dans la nuque, à la jonction entre deux cervicales. L'homme s'écroula aussitôt sur le sol. Puis elle aperçut sur sa droite le seigneur des Lances de Briançon, manquer de tomber de son cheval. Entre ses mains ensanglantées, une dague plantée dans son abdomen. Lâchant son épée, elle accourut vers lui. Pour elle, sa participation aux combats avait pris fin quand elle s'était releve, incapable de combattre dans son état, mais pas incapable d'apporter des soins. Debrinska et Fontvell n'étaient pas dans cette partie de la bataille, ils pourraient s'occuper des blessés de l'autre côté. Un glaive siffla dans l'air, et Frutass sentit une douleur au bras droit. Elle n'y porta pas plus attention et continua alors que les cris retentissaient tout autour d'elle. Elle arriva enfin à hauteur du cheval d'Akron, et se retrouva face à une femme, une ennemie de toute évidence. Elle lui jeta un regard, méfiant et appeuré et recula d'un pas. Mais face à son absence de réaction, elle s'approcha d'Akron et défit ses pieds des étriers. Elle essaya de sa maigre corpulence de ralentir sa chute, et de ne pas le blesser d'avantage.

Une fois qu'il fut allonger sur le sol, elle ôta la tunique de son uniforme et la posa sur la blessure, prenant soin d'y laisser la dague, et appuya sur la plaie. Elle guettait la guerrière du coin de l'oeil, tout en suppliant Akron. Elle parlait à voix basse, manifestation de ses pensées floues du moment, dans un semi-délire. Accrochez-vous Seigneur... Vous allez vous en tirer. Ne partez pas. Restez avec moi...

Dernière édition par Lanowar le Mer 15 Oct 2008 - 17:55, édité 3 fois

Revenant de taverne, il était arrivé a la barbacane et allait passer vers le bureau de Maistre instructeur quand des cris attirèrent son attention ... Il descendit quelques marches et déboucha face a ce que l'ont peu appeller "un gros carnage". D'après lui, le peu de soldat courageux qui se battaient contre des barbares avaient fort a faire ... L'on voyait de tout: des hommes des femmes des cavaliers, des simples coutiliers ou encore des Haut-gradés, montés.

-Hnnggg gromella-t-il ... Dans ces cas là qu'est ce que l'on peut faire se demanda-t-il intérieurement ...

Il n'avait rien à faire, le bureau attendrait bien, et son courage n'était pas démonté. Il choisit donc de porter son aide aux soldats de l'OST, après tout en tant que futur apprenti, il ne risquait (presque) rien, et puis, chance, il avait pris son épée ... Toutes les occasions étaient réunies pour qu'il charge, cela ne se faisant pas prier il était déjà en train de courir en direction des barbares ...

Il ne cria pas, et se fit le plus discret possible avant d'arriver au contact, tout en donnant des coups par ci par là, avant de trouver un adversaire a sa taille... Il n'avait pas l'air très fort et en profita bien. Lui armé d'une épée, l'ennemi d'un fauchard. Il ne se posa pas de questions.

-Une lance cotre une épée ? Boh ...

Il le charga et cru donner un coup bien placé. Mal lui en prenait car il n'avait rien touché, son épée avait battu le vide. Son adversaire, en revanche ne l'avait pas raté, le bois de son arme lui ayant entamé legèrement la tête, et vu que Lanowar n'était pas très résistant, il s'écroula au sol, complètement dans les vappes ... Heureusement, le germain l'ayant cru mort, s'en alla chercher d'autres victimes et le laissa ainsi, gémissant au sol a travers le sang et le fer, a travers la conscience et l'inconscience ...

Maxlamijole arriva la ou sont cld lui avait dit d'aller.
Il n'y avais que des gens armés et en pleine bataille et le sol était joncher de morts.
Il n'y réfléchit pas a 2 fois.
Il déguaina son épée et tira sur les rènes de son cheval.
En avant

C'était dans un nuage de poussiere, des cris, le fracas des épées les unes contre les autres que le Capitaine se battait contre un Germain . Elle lui faisait face à présent, son bras faiblissait mais elle serrait les dents .
Coup pour coup elle lui rendait, laissant échapper un cri de rage à chaque fois qu'elle élançait épée vers lui .
Ses cheveux blonds collés à son visage, genoux pliés, elle mettait à profit les leçons prises.. mais les assauts du barbare devant elle etaient d'une telle force.
Cela lui rappela qu'elle n'était que femme ,sa foce s'en décupla .

Au loin, un cri lui parvit.... Esrestie, elle était sure d'avoir entendu Erestie . Et son sang se glaça à la seconde même : Akron !
Elle ne put s'empêcher de détourner la t^te vers le cri . Elle entraperçu Akron, les mains jointes sur son abdomen, le regard dans le vague tourné vers la femme .

NOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNN !!!! hurla t elle avant de tomber dans un trou noir, à terre, sans connaissance . Le Germain lui avait assené un grand coup de bouclier en travers de la figure .

Citation :: NOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNN !!!! hurla t elle avant de tomber dans un trou noir, à terre, sans connaissance . Le Germain lui avait assené un grand coup de bouclier en travers de la figure .

Chloris avait entendu un cri provenant de sa droite, elle accouru aussi vite qu'elle pouvait et vit le capitaine a terre, elle sortit son épée de son fourreau et assena un coup violant au Germain qui avait frappé Lady à la tête, il s'écroula aussi tôt, la carotide sectionnée.....

Chloris se mit à genoux pour voir si la capitaine respirait encore....et oui elle sentit son souffle, il fallait a tout prix la dégagée au plus vite, elle rangea son épée et prit délicatement la capitaine en dessous des bras, pour la mettre a l'abri....

Tout était confu mais étrangement il se sentait bien. Il n'avait plus peur, il n'avait plus faim, la sueur de lui dégoulinait plus dans les yeux et ses membres n'étaient plus lourds. Si ce n'était cette désagrable sensation de nausée tout aurait été parfait. Il eut vaguement la sensation de descendre de cheval. D'ailleurs avait-il un cheval ? On lui parlait quelqu'un était à côté de lui. Mais là bas, de l'autre côté une autre voix l'appelait douce et tellement attirante

"Rejoins moi Akron, vient à moi et plus jamais tu ne sera malheureux. Toute ta famille t'attend Akron ne leur tourne pas le dos"

Une image s'imposa à lui : il se voyait jeune par un bel après midi d'été. Il était au bord du lac, les pieds baignant dans l'eau. Sa soeur disais

"moi plus tard, je serais une princesse. J'habiterais dans un grand chateau et mon mari m'aimera"

Akron et son frêre avait éclaté de rire ! Quel rêve ridicule, enfermée dans un chateau. Eux deviendrait chevalier : ils seraient grands, forts et les gens les adorerait, allant de bataille en bataille il ne connaitrai jamais de repis.

"Mais on viendra te voir souvent dans ton chateau , avait-il dit le plus sérieusement du monde , parce que personne pourra nous séparer"

Etait-il devenu chevalier ? Sa soeur habitait-elle dans un chateau ? C'est bizarre mais il ne se souvenait plus de rien. Il était tiraillé : d'un côté cette douce voix qui l'appelait et de l'autre le sentiment de devoir retourné en arrière, ayant encore des choses à accomplir. Et soudain une image s'imposa à son esprit : une femme ! Elle était magnifique, elle se tenait devant lui, nue, sa longue chevelure blonde couvrant son corps. Elle aussi prononçait son nom, elle aussi l'appelait, lui conjurant de rester, de ne pas partir si vite.
Il savait qu'il se trouvait à une croisée des chemins, que la décision qu'il devait prendre était importante mais il n'avait plus tous les élements en main. Comment bien choisir dans ce cas ? C'est alors qu'il vit la lumière : une sorte de halo rayonnant rose et sa curiosité fut piqué au vif. Lentement, hésitant encore, il décida de marcher vers cette lumière. Il constata qu'en fait il n'avait nul besoin de marcher. Il était habillé d'une sorte d'uniforme. Peut être bien qu'il était chevalier après tout, n'y avait-il pas le mot "Seigneur" qui tintait à ses oreilles ? Une dague lui sortait des entrailles mais il ne la sentait pas, en revanche ses jambes étaient immobile. Néanmoins, sans aucun effort, inexorablement, il se rapprochait de la lumière, où la lumière se rapprochait de lui, et la douce voix se faisait de plus en plus insistante

Citation :

NOOOOOOOOOOOONNNNNNNNNNNNN !!!!

Ce cri tira Font de sa rêverie face au germain qui mourait lentement...
Il tourna son regard pour apercevoir sa Capitaine s'écrouler au sol et, plus loin, Akron étendu les yeux fixant le ciel, un curieux sourire de béatitude sur les lèvres..........

Nom de Zeus !!!
Il chercha Chabal du regard et le vit brouter tranquillement à quelques pas...Aristote soit loué ! Il allait pouvoir récupérer sa besace et tout son matériel...

Ingomère restait comme une idiote à ne savoir quoi faire. Quelqu'un tenta de lui porter secours et immédiatement, ses hommes su ruèrent à l'assaut.

-RUHE ! aboya-t-elle la voix tremblante , Dieses man ist meine Brüder ! [Du Calme ! Cet homme est mon frère]

Elle répéra des renforts qui sortaient de la porte principale et y envoya ses hommes des ordres secs. Elle resta sur place et mis pieds à terre. Une soldat avait déjà descendu Akron de sa monture et tentait vainement de lui parler. La pâleur de son frère, et son air béat, ne laissaient rien présager de bon. Jetant son arme elle s'agenouilla elle aussi auprès du mourrant, essayant de se faire comprendre du mieux qu'elle pouvait

-Ich Ingomère, Schwester, Schwester , répétait-elle en se frappant la poitrine, Schwester, ja ! Je aider

Les combats s'étaient légèrement déplacés et, elle aperçut du coin de l'oeuil un homme en train de fourrager dans les sacoches de son cheval et d'en sortir des fioles. Un guérisseur ? Peut être.
Et soudain, venu de l'autre côté du champ de bataille, un cri déchirant se fit entendre, apparement quelqu'un venait de perdre un être cher, voilà pourquoi elle n'avait point de compagnon dans les rangs des mercenaires, c'est un métier où l'on meurt trop jeune et trop brutalement. Elle voulait reporter son attention sur son frère quand elle aperçut un troisième homme, fulminant. Celui-ci se taillait rageusement un passage, n'ayant d'yeux que pour elle. Un ami d'Akron ? Certainement. Elle ne savait vraiment pas comment réagir face à cet homme qui visiblement ne la porterais jamais dans son coeur. Comment, mais comment en était-elle arriver là ? Si elle n'avait pas paniquer quelques instants auparavant....

Dernière édition par NDJ le Jeu 16 Oct 2008 - 16:37, édité 1 fois

NDJ cherchait un adversaire,quand il aperçut un groupe de cavaliers qui arrivait au galop,ouf,un peu d'aide ne ferait pas de tort.

Ca lui redonna du coeur à l'ouvrage et il engagea le combat avec un germain,choisissant toutefois un type un peu moins grand que le dernier,comme il regrettait de n'avoir pu emporter sa vouge dans les souterrains.

Le bouclier qu'il avait récupéré chez un adversaire mort était plus lourd que le sien,mais il lui convenait bien,ça le protégeait mieux sans nuire à sa mobilité.

Le germain maniait une lourde épée à deux mains et jouait de sa puissance,NDJ esquivait,se désaxait,bloquait avec le bouclier en piquant l'ennemi de coups d'estoc rapides.L'adversaire était surpuissant,mais lent,pour une fois,NDJ sentait qu'il ne pourrait rien lui ariver,il se sentait supérieur à l'homme.Sa confiance devait se lire sur ses traits,car il crut voir de la peur dans le regard de l'autre.

L'homme lança une attaque de haut en bas,et,cette fois,plutôt que d'esquiver ou dévier la lame,il s'accroupit sous le bouclier,et au moment de l'impact,lança sa lame vers l'aisselle du germain.Touché,la lame s'enfonça,faisant lacher l'épée au mercenaire.

En se relevant,il écarta violemment son bouclier,l'envoyant valser dans la tronche de l'ennemi qui s'écroula sur le dos.Il termina le travail en enfonçant sa lame dans la gorge du type.

Bien fait pour ta gueule,connard!

Wahouuu,il commençait à aimer ça,mais sentait qu'il devrait apprendre à canaliser cette violence sous-jacente à l'avenir.

Il observa le champ de bataille du regard,ça commençait à s'éclaircir,des corps jonchaient la poussière.

Du groupe de germains qui avait affronté sa section,il n'en rastait qu'une poignée,le renfort de cavaliers avait fait pencher la balance en leur faveur.

Il vit argael affronter le chef germain,devait-il aller l'aider ou foncer vers la mêlée plus proche du chateau?

[Huhu fausse manip]

Font s'était approché et voyait cette guerrière, complice des ces barbares, l'air désemparée, agenouillée et désarmée devant le corps d'Akron.
Il essaya de se rappeler les quelques mots que le Père Josep lui avait appris :

Toi... Bewegst dich nicht...Ich pflege die Verletzten...Befürchten nichts...Berührt nicht deine waffe

Il espéra que la femme avait bien compris son germain approximatif et commença à examiner le Seigneur des lances....

[ Sur le champ de bataille- devant le château]

Il l'avait vu tomber non loin de lui . Elle avait l'air d'être quelque peu importante vu les évènements antérieurs ....

Il sourit de la voir à terre ... une bonne monnaie d'échange . sans plus réfléchir, il avança maniant hache et bouclier avec dextérité et force jusqu' à arriver vers la femme agenouillée pres de la blonde. Goëric l'envoya d'un coup de boulier au loin .
Sonnée elle n'était plus une menace et regarda la blonde :

un uniforme, des galons et ma foi un joli minois malgré la lèvre coupée et le sang qui coulait rougissant ses cheveux .
Il laissa son bouclier à terre et chargea la blonde sur son épaule tel un sac .
Il regarda du côté de Klauss mais il était occupé .. tant pis.

Il la mis en travers de son cheval , monta à cru puis lança son cheval vers la forêt qu'ils avaient croisée sur le chemin .
Yeaaaah !

Le cheval parti a vive allure, enlevant ce qui semblait être un officier .

[Dans la forêt ]

Arrivé dans les bois, il trouva un coin sombre, pres d'une grotte . Il arrêta son cheval puis , après un temps d'inspection il vint vers le corps du soldat qu'il avait ramené .
Sans ménagement, il la fit glisser du cheval et il la recueillit dans ses bras ... Joli brin, pourrais en profiter se dit il .
Il lui enleva sa veste, la regarda un moment et un sourire de satisfaction barra son visage.Il la laissa à terre pres d'un bosquet .

Meine Schöne Frau,
Du musst dein geltend Gold dich!

Ald revenait doucement à elle, la blessure ne saignait plus mais restait très inquiétante, elle se traina à travers les herbes hautes pour voir ce qui se passait sur le champ de bataille, le spéctacle qu'elle vit était abominable, ses amis étaient blessés, voir évanouient, et elle vit le Seigneur Akron qu'elle avait rencontré une fois, en train de perdre connaissance une dague au milieu du ventre...un hurlement, puis le capitaine qui tombait elle aussi au sol...Heureusement, les soignants n'étaient pas loin et ils se précipitèrent vers les blessés...Un germain non-loin de celle qui se chargeait du capitaine se rapprocha dangereusement de la soignante et l'envoya valdinguer dans le décor puis chargea le capitaine sur son cheval et s'en alla en direction de la foret non-loin d'elle.

Rassemblant le peu de forces qui lui restait, Ald, pâle comme une morte tellement son sang avait coulé, hurla le plus fort qu'elle put en direction des soldats les plus proches, c'est à dire Deb et NDJ :

DEB !!!! NDJ !!! LE...CAPITAINE...DANS LA FORET !!!!!! GERMAIN....TUEZ LE....

Puis ayant usée ce qui li restait de force sombra à nouveau dans l'inconscience...

Sujet: Guet-Etranger,recrues, présentez-vous Jeu 16 Oct 2008 - 21:02

Après s'être assurée de la sécurité d'Ald, Debrinska rejoint le champs de bataille en courant l'épée à la main....

Un cavalier passe non loin au triple galop....pourquoi le germain n'attaque-t-il pas?
Bof... il y a des lâches partout pense-t-elle

Elle s'arrête un instant sur une petite butte pour contempler le carnage.... de chaque côté les rangs se sont éclaircis.....Tiens..je ne vois pas le Capitaine..j'espère qu'il ne lui n'est rien arrivé

Puis elle voit un attroupement dans l'échauffourée... des hommes semblent porter secours à un blessé....elle remarque alors que les Couleurs du Seigneur des Lances Akron sont à terre!

Elle dévale la pente, pour porter assistance, mais des hospitaliers semblent déjà s'en occuper!

Plus loin le seigneur Argael ..... en combat singulier..... avec un guerrier germain n'a pas besoin d'aide....c'est leur combat à eux ... leur défi!

Elle entend tout a coup un cri.....

Citation :: Rassemblant le peu de forces qui lui restait, Ald, pâle comme une morte tellement son sang avait coulé, hurla le plus fort qu'elle put en direction des soldats les plus proches, c'est à dire Deb et NDJ :

DEB !!!! NDJ !!! LE...CAPITAINE...DANS LA FORET !!!!!! GERMAIN....TUEZ LE....

C'est Ald qui crie comme cela ... et ptit Loup qui hurle à la mort..... vite elle tourne les talons et se précipite au pied de la blessée qui est à nouveau évanouie.

A genoux près d'elle, elle lui fait respirer des sels.... : Ald, dis moi je te prie,,, qu'est ce que tu as vu..... qu'est ce qui se passe.......????????

NDJ n'avait pas eu besoin de l'avertissement d'Aldraien,il avait bien vu passer le cavalier avec un corps en travers de la selle se diriger vers la forêt.

Il fonça vers deb:

Deb,elle a raison,je ne sais pas qui ce germain a emmené,mais je l'ai vu entrer dans les bois avec un soldat de l'ost inconscient.

Viens,on va le pister,je le retrouverai!

[HRP : Pardon pour le retard]

Le combat, son combat avait commencé. Entièrement concentré sur celui-ci il ne vit point les drames se jouer, plus que tout il ne vit pas son frère d’arme le Seigneur des Lances Akron, et son Capitaine se faire dominer.

Epuisé, de pars ses deux derniers duels, il lui fallait piocher au plus profond de lui, cet endroit ou la fatigue ne compte plus ou les trippes, la rage seul motiver un homme.

Il analysa son adversaire, plus grand que lui avec le même armement, il était chacun aussi costaud que l’autre, la force serait donc la même, au contraire de l’allonge.

De même il supposa que l’expérience des duels serait identique, aucun avantage à tirer de ce côté la non plus.

Le chef Germain donna son premier coup qu’il para avec son bouclier, rien de méchant un coup pour prévenir que la mort allait frapper ici aussi.

Il est plus grand donc sans doute moins mobile se dit t’il. Préparant sa tactique il tourna autour du Germain pressé d’en découdre. Qu’importe la technique se dit t’il, la seule et unique qui fut la bonne sera celle qui te laissera en vie.

Les premiers coups s’échangèrent les ripostes répondant aux attaques. Coup de taille ou d’estoc, les passes d’armes se succédaient.

La moindre faute d’inattention ici serait sanctionable de suite, et se fût le chef de lance qui la fit, lui faisant serer les dents lorsqu’une estafilade se fit sur son avant bras, tenant l’épée, arrachant un sourire au chef Germain.

L’allonge le gêner toujours, petit à petit l’échange finirait par tourner en faveur de l’ennemi, il lui fallait se dépêcher.

Le Germain maintenant diriger l’échange, le Vicomte se contentant de mince attaque, passant le plus gros de l’échange sur le reculoir.

Morbleu je vais y passer, a me défendre ainsi, cesse donc d’avoir peur, nul vainqueur n’a survécut en défendant, cesse donc d’avoir des sentiments troublant, reste de marbre et expose toi franchement.

Sur le dernier coup du Germain, il posa genoux à terre parant avec son bouclier. Sous le choc la lame de son ennemi se brisa l’obligeant à reculer.

Voila que Christos lui donner un répit, plutôt que de profiter de la tournure des éléments, il se releva faisant signe au barbare d’en prendre une autre, dans ses yeux quelque chose avait changé, l’acceptation retrouvée de sa mort possible sans regret, ce sentiment d’avoir œuvré au mieux pour la grandeur du duché de son cœur.

Il laissa le chef Germain retrouver une arme l’attendant, un sourire mauvais sur le visage.

Frutass était penchée sur le corps immobile du Seigneur des Lances de Briançon. La guerrière s'agenouilla auprès d'Akron et se tourna vers elle. Elle s'adressa à Frutass dans un langage complètement incompréhensible à ses oreilles.

-Ich Ingomère, Schwester, Schwester, Schwester, ja ! Je aider

Aider, aider, t'en as de bonnes toi... Tu l'aurais pas planté, ç'aurait été plus simple, pensa Frutass, les dents serrées. La plaie sur son front continuait à saigner abondemment et son sang gouttait sur l'uniforme d'Akron. Elle jeta un regard à celui-ci. Un sourire s'était dessiné sur ses lèvres, et il semblait paisible. Frutass ne connaissait que trop bien cet air. Celui que l'on affiche lorsque la mort vient vous cueillir. Combien de fois avait-elle vu cet air s'afficher sur le visage de ses "victimes" au moment de rendre leur dernier souffle. Elle avait cessé de compter en réalité.

Elle regarda son ennemie et lui fit signe de prendre sa place sur la compresse. Elle saisit ensuite le manche de la dague, et regarda la jeune femme. Hochement de tête. Elle retira la dague du ventre d'Akron d'un coup sec et appuya fortement sur la plaie de sa main gauche. Elle leva la main droite, ravivant la douleur sur ses côtes au passage, et l'envoya de bon coeur sur la joue du Seigneur des Lances. Un grand "Clac" retentit. Revenez ! Elle espérait ainsi tirer Akron des griffes de la mort, le ramener à la conscience, ou même une semi-conscience. un homme sauta de cheval derrière elle. Elle espéra que ce n'était pas un germain qui allait la tuer. Mais elle aperçut Fontvell arriver. Elle souffla, rassurée. Il s'y connaissait probablement plus qu'elle.

Il avait échoué...

Son unique but, sa seule motivation, son seul rôle...

L'échec n'était pas tolérable...

Il n'avait pas su veiller sur Akron...

Le Perse réussit tout de même à se frayer un passage entre les combattants, en chemin il repoussa violemment un de ses frères d'armes... Il n'y avait plus qu'elle, cette Germaine qui avait osé faire l'impensable...

Il ne resté plus que quelque mètres entre elle et lui, les combats ne comptaient plus pour l'archer. Elle se trouvait là, à coté d'Akron, avec d'autres soldats, comment osée t-elle encore le toucher?

Erestie arriva à sa auteur et lui envoya un violent et rapide coups de pied dans la tête, Ingomere vola un mètre plus loin. Épée à la main, il resta en face d'elle, la regardant au sol attendant qu'elle se relève...

Elle paiera ...

Frutass se repencha sur Akron, avec l'aide d'Ingomère pour contenir l'hémorragie. Mais sans prévenir, celle-ci fut violemment éjectée un peu plus loin. Frutass releva la tête et vit Erestie debout, face à la Germaine, épée à la main. Elle n'avait que rarement vu pareille colère dans les yeux d'un homme, et cela n'avait jamais rien apporté de bon. Elle abandonna Akron aux soins de Fontvell et se releva rapidement. Attrapant sa dague, elle se plaça entre Ingomère et Erestie, et regarda celui-ci dans les yeux, les mains vers l'avant. Ne fais pas ça ! Pas ici, pas maintenant. Elle avait vu Erestie combattre. Il savait manier l'épée, et Frutass ne ferait pas le poids avec sa dague et dans son état. Aveuglé par sa colère, il pouvait très bien la tuer. Elle serra un peu plus ses doigts autour du manche de sa dague et le regarda, déterminée. Je ne te laisserai pas la tuer, quitte à en crever.

Une douleur horrible au niveau de l'abdomen, indéfinissable qui lui arracha un cri. Puis un bruit retentissant et sa joue pris feu. Que se passait-il ? Pourquoi ne le laissait-on pas rejoindre sa famille ? Il avait assez donner il avait le droit de se reposer maintenant. Sans plus prendre garde à la douleur il se tourna à nouveau vers la lumière rose. D'autant qu'on venait de cesser de le malmener. Petit à petit la douleur quittait son ventre à nouveau. Une seule chose le retenait, sans qu'il arrive à mettre le doigt dessus. C'était l'image de cette femme. Qui était-elle ? Sa fille ? Sa mère ? Sa compagne ? D'où lui venait ce sentiment de quète inachevée ?
Mais la douce voix ne cessait de l'appeler

"Akron, chez nous tu auras toutes les réponses. Avec nous tu aura tout ce que tu désire. Fini les douleurs au ventre, fini l'incertitude. Toute une existence de plaisir t'attend. Viens vers nous, viens , viens ! VIENS ! VIENS !"

Akron repris son avancée vers la lumière

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