[Lieu] Guet - Estranger, Recrues , présentez vous !

(Ok...On coupe et on la refait...on supprime aussi nos posts de commentaires...)

Sujet: Guet- Estranger, Recrues;présentez vous! Ven 10 Oct 2008 - 8:47

HRP... ben voilà ..je me suis laisser emporter.pour des raisons persos...par le feu de l'action.....donc j'ai corrigé mon rp et je vous laisse le soin de continuer ... mes humbles excuses à vous tous!
Lorsque vous aurez mis le reste à jour j'éditerai celui-ci!

Debrinska rêve très souvent qu'elle est encore chez elle...!

Dernière édition par Aldraien le Ven 10 Oct 2008 - 14:29, édité 1 fois

Les soldats marchaient toujours dans les souterrains, tous derrière Deb qui avançait, déterminée...
Soudain, ils apperçurent la sortie du souterrain, une fois dehors, ils se mirent tous à plat ventre et rampèrent à travers les fourrés jusqu'à ce qu'ils puissent voir distinctement la scène. Ald était devant, elle voyait bien le groupe de Germains non-loin...Soudain, sa respiration s'arréta, elle venait de voir le corps....Le corps de l'enfant gisant à terre...

*NON !!!*

Elle réprima un cri, sachant qu'il en allait de la vie de ses camarades et qu'ils ne devaient en aucun cas se faire repérer...Voir cet enfant en sang à terre fut certainement la plus affreuse chose qu'elle eut vu de toute sa vie...Elle s'imagina à la place des parents...pire encore elle imagina sa fille à la place de cet enfant, après tout, ça aurait pu être elle...Elle voulut chasser ces visions de son esprit mais cela était dur...La colère et la haine s'emparèrent de son corps...

*Pourquoi ont-ils fait ça...les barbares...ils vont payer !*

Sa main se serra sur la garde de son épée, elle voulait venger cet enfant, venger les parents qui venaient de perdre leur rayon de soleil, venger tout ceux qu'ils avaient fait souffrir sans raisons ! Des larmes de rage et de haine coulaient sur ses joues, jamais elle n'avait eu autant envie de tuer quelqu'un...Au moment d'attaquer, une rage destructrice s'emparerait d'elle, elle fera tout pour protéger le duché et l'ost de ces barbares sans honneur, elle se battra au péril de sa vie pour protéger sa fille et ses amis, ces personnes à qui elle tenait temps !
Elle attendait le signal, signal qui signifirait l'attaque....et la défaite des Germains...

Dernière édition par Fontvell le Ven 10 Oct 2008 - 17:38, édité 1 fois

Soudain, Fontvell fut pris de tremblements incontrôlables ...La vue du corps ensanglanté de la gamine lui en rappelait un autre....il y a bien longtemps, au pied de la tour de Cabestany....
Ce jour là, il avait fui et aujourd'hui le même désir commençait à envahir son esprit...
la chaleur était étouffante sous son casque et, malgré cela une sueur glacée qui coulait dans son dos..."Porphyrio...Où et tu ?..." criait-il intérieurement, espérant voir soudain surgir la silhouette familière de celui qui l'avait toujours protégé...Mais rien, ni personne ne pouvait quoique ce soit pour lui...Il était seul avec sas peur...;

Font se tourna vers son Capitaine pour chercher une lueur d'encouragement dans son regard....

Le Perse regarda la scene au coté de son Seigneur des Lances... La fillette égorgée, le corps sans vie au sol, les Germains enragés... Peut-être trouverait il en ces lieux un dernier salut, un dernier souffle loin de son peuple...Il attendait les ordres calmement, en regardant l'attroupement des mercenaires...

Impuissant il avait vu l’otage se faire tuer sans aucune compassion aucune pour la vie. Il se figea, il ne serait attendre les renforts bien longtemps, il ne pouvait rester la a ne rien faire.

Voler la vie d’un enfant était chose facile, prendre la vie d’un vétéran tel que lui en serait une autre. Il se prépara repoussant au fond de lui les sentiments devenant alors, pareil à ses ennemis. Le visage grave, il serra les poings.

Par Aristote, ils le regretteraient. Scrutant les remparts, il y vit du mouvement, à n’en pas douter, les soldats de l’Ost ne seraient laisser ce crime impuni. Tremblez Germain tremblez car voici venir les soldats du Lyonnais Dauphiné.

Il flatta l’encolure de son cheval, encore une fois ils seraient ensemble au cœur de la bataille.

Il regarda le ciel, le temps était clément le ciel bleu, le vent caresser le visage doucement. Il se surprit à penser que c’était un jour trop clément pour leurs morts ou la sienne. Etrange pensée finalement que celle-ci.

Il sortit son épée de son fourreau, inspectant son tranchant toujours entretenu. Il était près à intervenir à la moindre activité des Dauphinois.

NDJ rampait avec la section debrinska,quand lui aussi vit bien clairement le chef germain égorger la fillette.

Il n'avait pas vu beaucoup de morts encore,mais se souvenait très bien du massacre de ses parents dans des circonstances similaires.

Depuis cette époque,il avait sa méthode à lui pour gérer ces situations:refouler tout ça bien profond en substituant l'être humain mort par un animal tombé sous ses flèches.

Les tremblements,les pleurs ne viendraient qu'après l'action.

Ne restait que la rage,quelqu'un allait devoir payer pour cette infamie...

Godjok, comme ses autres compagnons, était dehors à présent et avait rampé jusqu'à un point d'où ils pouvaient surprendre leurs adversaires. Mais la situation n'était plus la même, un colère froide était monté dans les rangs de l'Ost à la vue du corps sans vie qui gisait au pieds du chef barbare. Il avait osé commettre l'irréparable. En tuant cette fillette, ils avaient tous creusé leur propre tombe. Il n'y aurait pas de quartier, ils allaient tous mourir.

Maintenant les soldats attendaient les ordres, ils pourraient prendre ces meurtriers sur leurs arrières et leur faire payer.

Frutass sortit du souterrain et vint se placer aux côtés de ses compagnons. Elle aperçut le corps inanimé de l'otage. Elle déglutit, afin de faire passer cette boule qui lui prenait la gorge. D'un geste lent et adroit, elle attrapa son arc et prit une flèche entre ses index et majeur. Elle n'attendait plus que l'ordre de Debrinska pour passer à l'action. Peut être devait-elle elle même attendre que les soldats restés à l'intérieur de la forteresse attaquent. Pas de précipitation, surtout pas de précipitation. Il fallait attendre le début des mêlées avant de charger. Il fallait que les Germains soient pris par la bataille quand ils arriveraient. Elle aperçut Argael sur son destrier un peu plus loin. Merde. Il est beaucoup plus visible perché sur son canasson. Pourvu qu'il n'attire pas l'oeil des Germains sur nous, ou nous sommes foutus.
Frutass regarda ses compagnons ; tous prêt à se jeter dans la bataille.

Akron soupira, les soldats du souterrain devaient avoir eux assez de temps maintenant. Il ne pouvait plus attendre maintenant, les Germains prendraient ça pour un aveux de faiblesse!
Dédaignant son épée qui pendait à son côté il se munit de sa hache. Il ne put s'empècher de penser que, la prochaine fois qu'il la lacherais, soit le combat serait fini, soit il viendrait d'être occis. Tous les hommes avaient l'air tellement enjoués, à croire qu'aucun n'avait envisagé la possibilité que lui aussi pouvait ne pas voir le soleil se coucher. Commander était une vaste responsabilité, et il savait par avance que pour chaque homme qui mourrait aujourd'hui, il connaitrai de longues nuit blanches à se demander " et si j'avais donner cet ordre plutôt que celui là ?"
Il croisa le regard de son Capitaine et vint se placer en tête des cavaliers

"SOLDATS RAPPELEZ VOUS DE MES ORDES ET NE FAIBLISSEZ PAS !"

Il laissa ses paroles en suspens une où deux secondes

"OUVREZ LES PORTES ! "

Dans un grincement de gonds et un cliquetis de chaine de métal, les lourdes portent s'ouvrirent, lentement, très lentement....et la voie fut dégagée. Les germains étaient là hors de portée de flèches des murailles mais à un bond de cheval.
Akron tallona sa monture, sans même prendre le temps de voir s'il était suivi. A la tête de la formation, il fonça droit dans la masse de fantassins, vérifiant du coin de l'oeuil que les piquiers se mettaient en position. Mentalement, il compta les secondes avant le choc ....

la situation etait bien plus grave que ne l' aurait cru muadib . a deux pas de son capitaine il la vit blanchir, quand des murailles on entendit.

Citation :

ils ont tué l'enfant

les barbares ne reculaient devant rien c'etait une technique connue ......... muad se souvint de l'avoir lui meme pratiqué dans une autre vie........ rien de tel pour faire perdre la tete a ceux qui sont protegée derriere des remparts . les obliger a sortir........ a venir au contact .

se rapprochant de son capitaine il lui dit

mon capitaine .... il nous faut ouvrir les portes et aller a l'assaut que quand nous seront plus nombreux .......... c'est une ruse pour nous tuer les uns apres les autres.......... ces brutes savent ce qu'ils font , ils restent hors de portée de nos fleches , il nous faut garder l'esprit clair

muad avait parlé a voix mi- basse dans le tumulte des cris vengeurs des hommes qui les entouraient .......... il aurait aimé lui aussi trancher et saigner ces pourceaux , mais la prudence lui avais permis de vivre jusqu'a maintenant.

il regarda avec effroi le seigneur arkon faire ouvrir les lourdes portes .........
les dés etaient jetés
serrant plus fort le manche de sa hache muad se saisit d'un ecu et se precipita a la suite du seigneur des lances.

le ciel et l'air etaient frais .......... un bon jour pour mourir ........... " pensa muad"

Bientôt les soldats sortirent du passage, se plaçant de suite sous ses ordres. Il prit rapidement la parole avec l’assurance que lui avait apportée les années. D’une voix forte et posé, il tenta de galvanisé ses soldats, parmi lequel on trouvait le Chef de Lance Debrinska, l’Archer Frutass et les Coutiliers Godjok et Ndj

Soldats je serais bref et concis, pas de quartier, vendez chèrement votre peau dans la bataille car soyer sur ils ne feront pas de quartier, ni de prisonniers. Le point de ralliement sera mon étendard, il sera à vos côtés au cœur de la bataille.
Soldat je compte sur vous en avant.

Il prit son cor et souffla dedans signe de la charge du chef de lance et de ses soldats, tandis que la herse s’était levée et le pont levis abaissé.

Partant en tête il chargea, ce soir la faucheuse aurait des mort à emmener, pourvut qu’il s’agisse plus de Germains.

Il partit les soldats derrière lui, encourageant son étalon Angelus. Déjà il reconnaissait des soldats au milieu de la bataille.

Sainct Georges et Dalphiné.

Entrant dans la mêlée il taillât son premier germain, tandis que les soldats du Seigneur des Lances Akron arrivaient de leur côté….

Le seigneur Argael arriva auprès d'eux. Il fit un discours pour donner du baume aux coeurs au petit groupe. Lorsqu'il souffla sur dans son cor, Frutass encocha sa flèche, prête à tirer, puis se ravisa en voyant ses compagnons sortir du Castel. Elle rattacha son arc dans son dos, sortit son fauchon et attrapa sa dague longue. Il était enfin temps de charger contre l'ennemi. Elle emboîta le pas au Seigneur Argael qui la distança bien vite sur son destrier.

Elle arriva rapidement à hauteur de son premier ennemi, un grand brun, trappu, maniant une masse d'arme. Frutass para de justesse à l'aide son épée mais se retrouva déséquilibrée sous la violence du coup. Le Germain releva son bras pour frapper à nouveau. Se campant sur ses appuis, elle leva sa dague et bloqua l'arme, non sans ressentir la vibration du choc se répandre dans son avant-bras. Mais elle eut surtout une ouverture pour envoyer soin fauchon dans l'estomac de l'homme, qui resta choqué un moment, puis regardant le bout de métal enfoncé dans ses entrailles. Dans un cri, il voulut frapper une dernière fois, mais elle envoya le tranchant de sa dague contre sa gorge. L'homme s'écroula dans un gargouillement, Frutass le regarda s'effronder, tremblotante.

Puis elle se ressaisit et chercha un autre ennemi du regard. Sur la gauche ! Elle vit du coin de l'oeil l'homme s'approcher, un barbu, avec lui aussi une masse d'arme déjà lancée à pleine vitesse vers elle. Elle se recula d'un bond, à temps, mais pas suffisament lointain. La masse lui percuta l'abdomen avec violence et elle se retrouva sur le dos, le souffle coupé. Le gambison avait fait son office et absorbé une partie du choc. Lorsqu'elle regarda au-dessus d'elle, elle aperçut le Germain qui s'apprêtait à lui écraser le crâne. Dans un réflexe, elle roula sur le côté, la masse s'écrasant dans la terre à 5 pouces de sa tête. Coup d'adrénaline, la douleur s'évapora et elle put se relever, le souffle court. Elle esquiva le troisième coup d'un pas sur le côté, mais ne put éviter le poing de l'homme. Elle sentit le goût du sang dans sa bouche quand le poing percuta sa mâchoire. Une main saisit sa gorge et commança à serrer.

Elle lâcha ses armes et attrapa le poignet de l'homme pour essayer de se dégager. Rien à faire, il arrivait à la soulever du sol avec son poid plume. Elle suffoqua. L'homme afficha un rictus satisfait. Frutass se voyait déjà passer outre-monde, quand lui vint une idée. Elle envoya sa main droite par dessus son épaule droite, attrapa une flèche et la planta dans la gorge de l'homme. Surpris, il la lâcha. Elle retira violemment la flèche, puis la lui planta profondément dans l'oeil. L'homme s'écroula, inerte. Frutass ramassa sa dague et chercha son fauchon en se massant la gorge, toussotante.

[À l'intérieur de la garnison]

Occupé à ses occupations à l'intérieur de l'armurerie, MacCornell n'avait pas tout de suite remarqué ce qui se passait. Il faut dire que le travail de la forge faisait lui aussi un sacré bruit. Ce n'est que lorsque l'alerte fût transmise qu'un soldat vint le prévenir de ce qui se tramait au porte du Castel. Sachant qu'il était de faction la semaine suivante, il devait s'occuper cette semaine des réserves armées. Il quitta l'armurerie non sans avoir pris la précaution de mettre les braises à refroidir pour éviter le déclenchement d'un incendie.

Il alla s'équiper et ordonna aux soldats de réserve de se rendre en tenue de combat dans la cour intérieur. Il se dirigea vers l'écurie et s'installa sur Bouillon. À la tête de la lance de réserve, il attendait comme ses hommes prêt à venir en renfort. Une certaine angoisse se lisait sur leurs visages. Il faut dire que seuls les bruits extérieurs les plus forts leur parvenaient. Soudain un cor sonna et son écho résonna dans la vallée. MacCornell fit signe à ses hommes que c'était maintenant les lances de première ligne qui passaient à l'action. Eux, ils devraient encore attendre un moment.

En se lançant à la suite du Chef Argael, le petit groupe tomba sur les arrières de l'ennemi, compensant par là l'infériorité numérique. Le groupe compact de germains commença à se désagréger pour faire face aux nouveaux arrivants. Cette attaque allait permettre au groupe principal, emmené par le Seigneur Akron, de s'enfoncer plus facilement dans la formation barbare.

Godjok chargea donc à la suite des autres. Il avait du échanger sa pique habituelle, peu pratique dans les souterrains, contre son épée et un écu. Grace à son bouclier et à sa vitesse, il percuta le premier germain qu'il vit. Sous cet impact soudain, celui-ci tomba à la renverse, ce qui permit à Godjok de trouver la faille dans la défense du barbare. D'un coup bref, l'épée de Godjok s'enfonça dans l'abdomen de son adversaire qui lacha son arme. La blessure occasionnée n'était pas mortelle immédiatement, mais la douleur allait être insupportable et longue avant le dernier soupir.

L'archer Frutas, qu'il avait rencontré briévement lors de son séjour à Dié, venait de se débarrasser de son adversaire direct. Godjok reprit ses esprits en surveillant les alentours à la recherche d'un autre ennemi. C'était facile, il n'en manquait pas.

Sujet: Guet- Estranger, Recrues;présentez vous! Ven 10 Oct 2008 - 21:50

Le ciel est si bleu en cette journée. l'air de l'automne si pur..... dans le ciel passent des oies sauvages.... les vendanges devraient battre leur plein si ces barbares n'en avaient pas décidé autrement!

Debrinska court sus à l'ennemi, elle regrette simplement ne pas être sur le dos de Braque... mais si il lui arrive quelque chose, Muad s'en occupera...

Elle remarque tout d'un coup à côté des armes du Capitaine, les armes de Muad , elle l'aperçoit sur Fohen , elle redouble de courage et d'énergie pour tailler en pièces les Germains et aller se battre à ses côtés!

Elle se sent frapper dans le dos, la poussée est si forte qu'elle l'envoie rouler dans la poussière .... heureusement le mercenaire emporté par la charge n'a pas pu ajuster son coup....et l'écu de cuir qu'elle a toujours sur le dos l'a protégé...Elle réussit à s'accrocher aux étriers et à déstabiliser son adversaire, il bascule, tombe de cheval.... il reste sonné sur le sol...empêtré dans son armure ... il a le temps de voir venir la mort.....Deb sent aucun sentiment lui enfonce sa miséricorde dans la gorge.... Gargouillis, flot de sang et c'est fini...

Elle se relève....lorsqu'elle entend tout près d'elle un cheval hennir de frayeur....Ptit loup a sauté à la gorge de l'animal et s'y maintient de tous ses crocs... malgré les efforts despérés de l'étalon et de son cavalier pour lui faire lâcher prise..... l'épée en avant elle s'en va prêter main fort à son ami!

Saint-Georges et Dalphiné

Elle remarque dans cette charge effrénée le courage des coutiliers.......En avant ... les gars...... Pour Pendragon!

Les chevaliers de l'Ost capitaine en tête ont l'air d'accomplir aussi un travail remarquable...les hommes tombent... elle lève les yeux un instant...juste pour voir une masse d'armes se lever sur elle.... un brusque saut de côté. lui permet d'éviter le choc!
Un nouveau combat à mort s'engage!

Citation :: "SOLDATS RAPPELEZ VOUS DE MES ORDRES ET NE FAIBLISSEZ PAS !"

Le cri de ralliement d'Akron tira Fontvell de sa stupeur...
Sous ses cuisses il sentait Chabal piaffer d'impatience....Il respira un grand coup, se signa et abaissa la visière de son heaume , maintenant prêt à se lancer au contact de l'ennemi....
"celui qui n'a jamais peur est un fou..." pensa-t-il....

L'appel d'Akron pendant qu'elle donnait les derniers ordres , les portes s'ouvrent.. la campagne faite de quiétude, le ciel sans nuage .... ce groupe ... ces hommes ..
Sa machoire se contracte violemment, donne l' élan à son cheval d'un coup de talon ferme , lève son épée au fur et à mesure que la distance les séparant se réduit. Aucune peur, de la haine la submerge, cette haine qui la conduit à donner sa vie, à cet amour de la vie d'autrui qui l'améne a faire de même.
Les cavaliers soulevant un nuage de poussière comme un seul homme fonce vers les barbares :

A mooooooooorrrrrrrrrrrrttttttttttttt ! hurle t elle .

Sa fidèle fend l'air , ne souhaitant qu'une chose ... fendre le crane de ceux qui avaient osé commettre l'innommable .

L'odeur du sang enfin . L'excitation à son comble , fallait qu'ils viennent, il avait envie d'en découdre: trancher des gorges, eventrer et pourquoi pas jouer un peu .
Un sourire sadique barra son visage sous le casque, relique de son dernier décapité .

Il entendit derrière lui du bruit : ça y est , les voila . une douce litanie vint à lui, bientôt la délivrance, les coups, sentir ce liquide chaud et visqueux, sentir la mort autour de soit .
Regardant toujours droit devant lui , les portes du chateau s'ouvrent : l'autre en sorte , celui qui parlait leur langue et qui disait faire parti de leur clan ... foutaise !
La blonde - hummmm - il la prendra avant de la saigner.
Il se mit à rire devant le peu de guerriers : que cela ! partie de plaisir !

Elle détourna le regard quand Klaus égorgea l'enfant. Elle n'avait jamais été pour ce genre de méthode mais la fin justifiait les moyens. Elle préfèrait grandement que ce soit le minaud plutôt qu'elle qui gise dans un marre de sang. Elle pensa avec un rictus aux quelques bâtards qu'elle avait déjà abandonné sur les parvis des églises, ils pouvaient s'estimer heureux comparer à ce blondinet.
Enfin les portes s'ouvrirent et l'identité de l'homme qui chargeait à leurs têtes ne fit plus de doutes. Il montait même à cheval de la même manière qu'elle, il se tenait en selle comme père leur avait appris à le faire.
Quel hasard du destin de se retrouver aujourd'hui face à lui. Elle implora ses Dieux de lui laisser une chance de lui parler avant que l'un deux ne meurt.
Elle jeta un regard vers Klaus en attendant le signal de la charge, les cavaliers ne devaient jamais intervenir trop tôt c'était bien connu.
La piétaille était déjà attaqué sur son flanc par des soldats venues d'on ne savait où et la cavalerie adverse serait bientôt au contact. Une fois qu'ils seraient englués dans la masse compacte de la chair à saucisse, ils pourraient intervenir

Seigneur au sein de la bataille, se trouva fasse à un Germain. Il était grand, très grand, le teint pale, noircis et entailler par les blessures. Il était blond et orgueilleux. Seigneur était aux cotés de Debriska. Ils combattaient ensemble. Le Germain en question était son adversaire directe. Il avait en ses mains une grande massue. Elle était extrêmement impressionnante. Cette homme était
d'une brutalité sanguinaire. Ainsi par sa très grande force l'homme brisa la bouclier de seigneur. Mais du à son gabarit, cette homme avait une mobilité réduite. Ainsi seigneur réussis tan bien que mal à tué cette homme.

Pour le Lyonnais Dauphiné.

Sujet: Guet . Estranger, recrues, présentez vous! Sam 11 Oct 2008 - 10:59

D'un saut Debrinska a évité la masse d'armes....elle est avantagée par rapport a son adversaire... elle ne porte que son gambisson et à moins de difficultés à se mouvoir!
Elle se retrouve aux côtés de Seigneurmort.... chacun combattant un de ses hommes venus pour piller et prendre leurs âmes et leurs biens, ainsi que ceux des pauvres manants ....
La pensée de la petite morte décuple ses forces...* Chantavalon* devient en feu dans ses mains,,, à nouveau partie dans ses rêves....elle pense tenir *Excalibur*....
Le Barbare roux qui se tient devant elle,,, a dans l'oeil une lueur sadique... non tu ne m'auras pas ... tu ne pourras pas me vendre de nouveau... ton sang va souiller la terre du Dauphiné dans peu de temps.

Elle se baisse à nouveau pour éviter d'être touchée par la masse ... par ce mouvement l'homme est un instant sans garde.... elle en profite et plante son épée dans dans le bas ventre du *vandale*.... elle la retire rapidement rougit du sang impur!

Et laisse l'homme hurler de douleur... sa mort va être lente ..très lente!

Elle examine un instant la bataille et hurle aux hommes: ne vous laissez pas attirés au centre.... essayez de vous battre sur les côtés... ne pas vous trouvez au milieu des charges!

Un coup d'épée entaille son bras gauche... le sang dégouline...un valet a ramassé l'épée de son maître ...et provoque Debrinska maladroitement, heureusement pour moi pense.t.elle, bien maniée je ne serais plus là!

Elle se concentre à nouveau seulement sur le combat qui l'oppose à ce nouvel adversaire!

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Les germains..... nos adversaires du jour!

A notre disposition,... Seigneurmort... lequel veux-tu?

Mad arriva au guet et se presenta

bonjour
je suis Madmaxikki coutilier de la garnison de Dié
serait il possible que je m'entretienne avec le maistre instructrice zoyas

Quand NDJ entendit le cor d'argael,il vit du coin de l'oeil frutass dédaigner son arc,craignant de toucher un camarade.

Il hésita une seconde,mais c'est avec un arc qu'il se débrouillait le mieux,il voulait lâcher une salve avant le corps à corps.

Pendant que sa section courait vers les germains,il se décala vers la droite et décocha 6 flèches sur les cavaliers qui restaient un peu à l'écart,fut certain d'en voir un s'écrouler,mais il en avait touché au moins trois.

Il remit son arc en bandoulière et fonça dans la mêlée en hurlant:

Saint-Georges et Dalphiné!

Plusieurs germains sont déjà à terre,en arrivant,il voit debrinska se faire entailler;l'ennemi lui tourne le dos,il n'hésite pas et lui tranche le bras qui tient l'épée,tant pis pour l'honneur;le sang pulse de la blessure,pas l'achever,qu'il crève lentement...

Il cherche des yeux un autre adversaire,mais un géant fond déjà sur lui,précédé de la boule de son fléau.Il plonge sur la gauche pour éviter l'impact,fait une roulade et se relève,face au colosse qui lance déjà l'attaque suivante parée avec son bouclier qui vole en éclats.

Il s'en débarrasse et saisit sa miséricorde,jouer sur la vitesse,c'est sa seule chance,mais il est mal embarqué,quel monstre ce type,esquiver et trouver l'ouverture...

(Je vais vous laissez faire le RP tout seul... Pas que je m'ennuie mais bon, il y a abus la non? Vous êtes inférieurs en nombre (pas tant de monde qui poste), nous nous sommes deux a gérer les germains... et regardez le résultat, on retire les posts de bourrin, c'est très bien, mais si c'est pour aller en faire des autres juste au dessus quel intérêt? J'ai rien posté depuis votre charge, et je doit déjà compter minimum 6 mort dans les rangs Germains, si chaque soldat en tue deux ben merci pour moi! Honnêtement je suis dégouté et je ne sais pas quoi poster, dire quoi que vous avez tué 6 de mes hommes et blessé 3-4 autres... enfin je m'emballe peut être pour rien mais bon je sais plus quoi dire la ^^ )

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