[RP] Entre Die et Chambery : Col de Croix Haute.

[HRP : Pour toutes les actions ayant lieu au Col de Croix Haute ou sur la route entre Die et Chambery]

Galoper et galoper toujours plus vite, il rageait, ces stupides soldats ne le lachaient plus, ils avaient sans doute décidé de mettre fin à ses jours et à son règne de terreur. Mais il ne se laisserait pas attraper si facilement, il en avait vu d'autres....il ricanna sadiquement en repensant à cette petite estafette champenoise qu'il avait castré un soir de printemps pour l'entendre chanter " la digue du cul " avec une voix plus aigue.

Malheureusement pour lui, un cheval ne pouvait pas galoper pendant des jours et des nuits entiers sans s'arreter. Il avait donc fait un halte dans une petite cabanne de berger qu'il connaissait bien du coté de Dieule-fit.

Il avait décidé de rester la pour la nuit, la jeune fille était maintenant réveillée, il l'attrapa par la nuque et la jeta dans le cabanon. Il se prit un bon morceau de viande et le dégusta devant les yeux de la fille affamée.

Hummmm que c'est bon, si tendre, si goutu.....tu en veux

Il tendit sa main avec un morceau de viande vers la jeune fille qui se jeta dessus avec avidité, mais au dernier moment, il retira sa main.

Mouhahahahaaha, c'est réservé au méchant brigand la viande...

Et il dévora son morceau en souriant.

Ahhhhh maintenant, faut que je dépense toute cettte énergie.

Il regarda la petite avec un oeil pétillant puis se jeta sur elle et lui fit subir mille supplices qu'il n'est pas nécessaire de décrire ici.
Son méfait accompli, il attacha la fille à l'aide d'une corde et s'endormit quelques heures.
A l'aube, il apercut les soldats qui le pourchassaient arriver par delà la colline.

Merde, comment m'ont il retrouvé !!!!!!

Il enfourcha son destrier, et parti au triple galop avec la donzelle devant lui, direction le Col de la Croix haute. Il comptait éviter Dié, son signalement avait du être donné et la maréchaussée l'attendait certainement de pied ferme.

Elle crevait la faim, et le monstre avait osé manger devant elle.
Faustine était terrorisée, quand après son repas il abattit ses grosses mains sur elle elle ferma les yeux pour ne plus le voir, son corps gras et lourd l'étouffait, elle pria Aristote qu'il n'aille pas plus loin.....

Mais rapidement l'homme s'empara d'elle avec brutalité, impossible pour elle si petite et menue de le repousser, elle tenta de se dégager de lui en poussant avec ses genoux, son poids devint plus lourd encore....

Un long cri s'échappa jusqu'aux montagnes de Dié, elle venait de subir le plus douloureux des châtiments, la réplique ne se fit pas attendre, il la gifla violemment pour la faire taire, puis l'attacha et s'endormit.

Elle pleura à chaudes larmes maudissant ce pervers qui lui avait volé son enfance.

C'est durant le trajet vers le Col que les ennuis ont commencé, alors qu'il galopait, son cheval fut mordu à la patte par un serpent ce qui les fit trébucher. La patte du canasson commenca à enfler et il ne put rien en tirer de plus, il laissa donc l'animal ou il était continuant un peu à pied. Après quelques centaines de mètres, il compris qu'il n'arriverait pas à s'échapper. Lors de la chute avec le cheval, il s'était salement amoché la cheville et ne pouvait maintenant plus marcher très vite et encore moins courir.

Il pouvait maintenant voir de très loin le groupe de soldat qui le poursuivaient, ils n'étaient encore que de petits points mais ils l'auraient bientot rattrapés avec cette maudite cheville. Il regarda la gamine étalée par terre et songea à l'égorger puis à tenter de fuir. Mais ca ne servirait à rien, il le rattraperait quand même à un moment ou à un autre. Il fallait ruser, au moins tenter d'en emmener le plus possible dans la tombe si la victoire sembait compromise.

Il attacha la fille à un grand arbre et la baillonna solidement de sorte qu'elle ne sache ni hurler ni bouger. Ensuite, il creusa devant elle un bon gros trou, d'un mètre sur un mètre, la rage décuplait son énergie. Dans ce trou il planta quelques bonnes branches d'arbres rendues pointues et tranchantes grace à quelques bons coups de lames bien placés, de sorte de créer une sorte de piège à ours miniature. Il recouvrit ensuite le trou de branchage et feuillage afin de le masquer.

Il monta ensuite dans un grand chêne bien vert, assez difficilement à cause de sa jambe d'aillleurs et se positionna avec son arbalète, prêt à emmener un second soldat au pays d'Aristote, voir un troisième si il n'était pas repéré au premier tir.

J'avais toujours l'habitude de faire une pause quand je revenais de chambéry, avec ma mule Ségo nous nous arretions au col de la croix haute.
En cette belle journée de printemps je cherchais la fraicheur de l'ombre pour m'assoupir, le paysage était magnifique : du col a l'herbe rase on pouvait distinguer a l'Est les contreforts des alpes, couverts de neige en cette saison, la ville de Die par dela la foret au sud et l'horizon se confondais avec l'azur du ciel.

Une vraiment belle journée dis-je a Ségo qui me repondis par un braiement

Les rayons du soleil tapaient sur mon crane dégarni et j'eut une hallucination, je vis un magnifique destrier, tout arnaché qui ne bougeait pas d'un poil.
Me frottant les yeux je le vis encore et arrivant a sa hauteur je me rendis a l'evidence : il etait bien réel !

Crénom d'boudiou ! me vla cocu ! un beau canasson tout arnaché rien qu'poul moué !

je vis que sa patte était gonflée et compris tout de suite qu'un des suppots a écailles de lucifer l'avait croqué !
je saisis mon couteau et fit une legere incision puis collant ma bouche j'aspirait le venin, la bete ne bronchait pas.

Apres ça j'ai attaché ségo et son nouvel ami puis je me suis mis a chercher le propriétaire du cheval. je vis une troupe de soldats au loin, ils allaient a pied ce n'etait donc pas a eux. En me retournant je vis une donzelle ficelée a un arbre comme un ballot de paille...La belle affaire c'est vraiment mon jour de chance !
Elle avait un baillon et semblait terrorisée, elle tournait la tete de gauche a droite avec febrilité. je fis un pas vers elle et le sol se deroba sous moi !
La brulure des chairs arrachées et perfofées fut terrible, j'etait tombé de tout mon poids sur des pieux........

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAYYYYYYYYYEEEEEEEEEEEEEEEEEOOOOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUUU

BOOOOOOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUUDDDDDDDDDDDDDDDDUUUUUUUUUUUUUUUU C'QUE J'AI MAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAALLLLLLL

J'hurlais comme un porc que l'on egorge en me vidant de mon sang
Ce furent mes derniers mots car mes poumons perforés n'avaient plus d'air, ma vue se troubla et je rendis l'ame la seconde d'apres.

Pénélope était de plus en plus intenable, râlant sans cesse, répondant à ses compagnons par des grognements pour replonger dans un mutisme inhabituel de sa part.
Chacun sait dans ces cas-là qu'il valait mieux pas la ramener !
C'est donc dans un silence total qu'elle leur fit signe de lever le camp pour filer plus au nord...........

Sladificator restait près de Penelope, elle semblait inquiète et ne répondait même plus aux soldats qui s'adressaient à elle... Il fut un peu inquiet, c'était la première fois qu'il la voyait comme ça... Songeur, il la suivait sans parler... La nuit tombait, ils commencèrent à poser un nouveau campement mais Pene nous stoppa rapidement pour nous faire signe de partir plus vers le Nord... Etait ce une intuition ? Avait elle entendu quelque chose ?

Quoi qu'il arrive, Sladificator avait une confiance aveugle en sa chef. Il refit son sac et se dépécha de la suivre d'un pas vif.

Il regardait les collines et cru entendre quelque chose...

Etait ce le vent ?

Il tendit l'oreille mais le bruit le revint pas... Il fronça les sourcils puis se tourna vers Pene.

Tu as entendu toi aussi ?

Alors qu'il surveillait la gamine qui se tortillait dans tout les sens pour essayer, en vain de se défaire des liens qui lui mordaient la chair, tel des ronces .
C'est la qu'il apparut, ce stupide vieillard, un tenait par la bride le cheval qu'il avait abandonné quelques heures plus tôt. Que venait il faire la , décidément ce n'était pas son jour de chance, il aurait mieux fait d'aller se taper quelques catins du coté de Laval comme il avait d'abord pensé le faire puis cette rencontre en taverne faisant, quelques verres et la promesse d'argent facile l'avait fait changer d'avis.
Maudit pirate, si je te retrouve je te dépècerai et te ferai manger ton foie....pensa t' il.

Il tentait de viser l'homme avec son arbalète, pour lui éviter de s'approcher de la fille mais le cheval et la mule se mettaient toujours de sorte que son champ de tir s'en trouvait obstrué. Il était obligé de faire mouche du premier coup car il ne pouvait pas prendre le risque que le vieillard s'enfuie, avec cette cheville foulée il ne pourrait pas le rattraper et il avertirais les soldats approchant du piège. Soudain tout s'emballa le vieil homme se jeta dans la gueule du loup et tomba lourdement sur les pics du trou.
Il ne mit pas longtemps à crever, hurlant de tout son saoul sa douleur et sa rage. Mais ces quelques secondes de plaisir qu'il prit à écouter le délicat chant du cygne étaient sans doute ses dernières. Les cris avaient avertis les soldats qui courraient maintenant vers lui, il ne l'avaient pas encore apercus pour le moment mais ca n'allait sans doute pas tarder, il ne s'était pas encore rendu compte de leur nombre. Dans un accès de panique, se sentant pris comme un rat et redoutant à ce moment le baiser glacial de la mort. Il brandit inconsciemment son arbalète, visa les soldats en pleine course et tira. Il avait visé le plus grand, une vraie tour, mais ayant mal anticipé son déplacement, il ne parvint qu'a lui envoyer sa flèche dans l'avant bras.
Pris de panique, il tenta maladroitement de descendre de son arbre.....

Courrant vers l'origine du bruit avec mes compagnons je senti dans mon avant bras une brulure tres vive.

je regardais et vit un carreau d'arbalete fiché dans ma manche, il avait traversé de part en part mon bras !

plus de rage que de douleur j'hurlais AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH !!! CRENOM D'UNE VESSIE DE PORC PURULENTE

je perdais beaucoup de sang mais ne cessais de courrir, ce faisant je prévint mes camarades qu'un arbaletier s'etait camouflé quelque part et ils de mirent en formation de defence.

Je m'abritait derriere un rocher et essayait de localiser l'individu.

Dans l'arbre Criais-je a l'attention de mes amis

Sladificator continuait de regarder Pene avec insistance, quand celle ci lui balança le dos de son bouclier sur son visage. Elle le regarda et lui lança un regard noir... Elle se mit à parler un langage des signes... Surement des codes militaires... Space avait parfaitement compris... Il me tira par le col et l'emmena avec lui pour passer à l'arrière de l'endroit qu'elle montrait du doigt... Elle se mit à courir avec le reste de la troupe... Sûrement une diversion pour que notre division passe inaperçue... Ils prirent un chemin vaste qui menait jusqu'à une petite clairière où se tenait un arbre et quelque chose qui semblait y bouger de loin...

Accroché par Space, Sladificator fit le tour dans une forêt assez dense jusqu'à descendre un petit lopin de terre assez abrupte... Il faillit se ramasser la tête la première sur le sol plusieurs fois, mais le sérieux de la situation le fit maintenir debout... Il gardait un oeil sur le reste de la troupe qui continuaient de courir en se rapprochant de la cible... D'un coup, il aperçut une flèche partir d'un arbre... Il regarda sa direction et aperçu Marca touché... Il s'inquièta un moment mais se dit qu'il avait dû l'esquiver en partie... Celui ci beuglait comme un sourd en recevant sa flèche... Au moins, il était toujours en vie...

Une fois arrivé au revers, ils avancèrent silencieusement vers l'endroit d'où avait été tiré la flèche... Ils se rapprochèrent suffisamment pour apercevoir un homme y descendre avec une souplesse assez absente... Ils comprirent en voyant celui ci commencer à filer dans leur direction en boitant... Ils se cachèrent dans un buisson, suffisamment baissés pour que l'homme ne les voit pas... Quelque chose bougeait devant l'arbre... Ils se dirent que le groupe de Pene s'en occuperaient... Ils sauraient y faire face s'ils étaient plusieurs à faire ces actes odieux...

Le bandit approcha puis arriva presque à leur hauteur... Sladificator serra le pommeau de son épée et son bouclier et attendit les ordres de Space pour passer à l'attaque...

c'était bien un cri que tous avaient entendu aussitôt la troupe s'était élancé,
Brakass courant au coté de Marca entendit un bruit sourd et Marca effectuant une torsion du buste
comme sous l'effet d'un choc hurla:

AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHH !!! CRENOM D'UNE VESSIE DE PORC PURULENTE

De fait Brakass vit le sang et le carreau d'arbalète fiché dans le bras de Marca, ce dernier criant un avertissement
s'abritait un temps nous indiquant:

Dans l'arbre

les soldats s'écartant les uns des autres Brakass accélérait l'allure vers la frondaison des arbres espérant qu'il n'y ait qu'un tireur
qui fixerait son attention sur eux et qu'il mette plus de temps a recharger que Slad et Space a le contourner.

*c'est là qu'on regrette les bouclier trainez pas en route les gars!*

Ce cri, tous l'avaient entendu... Un cri de douleur, à fendre l'âme...
Maintenant, Vivaldiana courrait derrière Pénélope, sentant la course de ses compagnons d'armes derrière elle... Slad et Space s'était séparés du groupe et avaient prit un autre chemin... Quelque chose siffla près de son oreille et quelques secondes plus tard, le cri de Marca retentit. Elle lança un regard en arrière et vit que le carreau d'arbalète été venu se ficher dans l'avant bras de Marca... Elle réfléchissait déjà à comment elle pourrait soigner ça quand elle distingua au loin, une forme vaguement humaine et dirait-on, attachée à un arbre... Viva fonça de plus belle, désirant coûte que coûte coincer ce pervers de Prospero...

Luffy suivit le groupe....................

Vival, occupe toi de Marca il a besoin d'un garrot, je rejoins les garçons !

Pénélope, galvanisée par je ne sais quel miracle, rejoignit en deux enjambées les soldats.....tous trois pourraient facilement immobiliser leur proie.
Elle s'approcha lentement, l'homme se tenait de dos et marchait en boitant.....plusieurs hypothèses s'offraient à elle.
Soit arriver par derrière afin qu'il se jette dans la gueule du loup, soit....pas le temps de réfléchir mais agir plutôt.

Pénélope ne mit pas longtemps à se trouver à un pas de lui.
Elle pointa son épée entre ses deux omoplates, sans l'enfoncer, juste pour le stopper de sorte que ses compagnons s'emparent de lui et le kidnappent vivant
D'une voix sarcastique elle lâcha

Messire Prospéro je présume ?........Les bonnes choses ont une fin !

Elle n'hésita pas à faire glisser la lame le long de son échine, l'homme eut un réflexe musculaire et tenta de lui faire face.

Capturez-le, après nous nous ferons le grand plaisir de lui offrir un voix de mezzo soprano !

Et de rajouter à ses compagnons avec impertinence

Et si ça vous pose un souci je m'en chargerai moi-même !

Sladificator vit Pene s'approcher de Prospero alors qu'il les rejoignait et devenait proche d'eux... A peine à cinq mètres de leur buisson, ils pouvaient voir le brigand lutter pour s'enfuir, puis Pene le poursuivre silencieusement mais le pas rapide...

Elle finit par arriver à sa hauteur, elle pointa son épée dans son dos pour l'immobiliser... L'homme ne pouvait plus rien, il était cuit comme un rat... S'il avait continué, ils étaient là pour le cueillir sur place... Soudain il tenta de virevolter pour faire face à Pene... Celle ci fit en sorte de ne pas le laisser faire puis cria.

Capturez-le, après nous nous ferons le grand plaisir de lui offrir un voix de mezzo soprano !

Space et Sladificator sortirent du buisson à toute vitesse... Sladificator se rua sur Prospero qui ne bougeait plus, Space, souriant le suivait l'arme au poing... Slad lui décolla un coup dans s'estomac qui le fit plier en deux... En silence, Sladificator passa derrière, sans dire un mot, puis lui prit ses deux bras avec l'aide de Space pour le maitriser et le mettre à terre... Prospero fut allongé sur le sol, ventre à terre en deux temps trois mouvements, les bras dans le dos...

Sladificator posa son genou sur ses bras pour les maintenir et d'un signe de la tête s'adressant à Pene et Space, ils lui tendirent une corde bien solide... Il l'attrapa et ne put s'empècher d'afficher un rictus de satisfaction... Il lui attacha les deux bras ensemble dans son dos en les montant suffisament pour qu'il sente une vive douleur dans ses épaules, mais sans lui briser... Une fois terminé, il releva Prospéro par le col puis le fit face à Pene...

Les membres de la petite troupe eux s'étaient occupée de la fille qui était attachée à l'arbre... Viva à ses cotés pour apaiser ses douleurs et parler avec elle... Les autres découvrir le corps inanimé d'un vieillard dans un piège non loin de l'arbre puis vinrent rejoindre Pene pour voir la tête du fameux prospero...

Et si ça vous pose un souci je m'en chargerai moi-même !

Sladificator sourit en la voyant, elle avait retrouver le sourir et même presque la satisfaction d'un travail bien fait...

C'est toi la chef Pene, à toi l'honneur, je pense que tout le monde voudra être présent pour voir cette ordure souffrir et lacher son dernier soupir !

Il regarda Prospero qui ne parlait plus, des frissons le parcourait, comme un animal traqué qui ne pouvait plus rien à sa destinée, apeuré par la mort qui le frapperait d'un moment à l'autre.

Attachée solidement à l'arbre, Faustine suivait la scène de près, la vision du vieillard mort sous ses yeux faisait croître sa terreur.....
La corde de chanvre coupait l'afflux sanguin de ses poignets, ses jambes ne la portaient plus, et cette douleur.....cette atroce douleur qui tiraillait son bas-ventre lui rappelait chaque minute sa récente torture.

Les soldats étaient sur le point de la venger, elle implora Aristote que le diabolique Prospéro subisse pire souffrance que toutes ses victimes réunies.

luffy cria :

Dépecez le

Aux ordres de Péné, Space emmena Slad avec lui faire le tour et ainsi attraper le brigand par derrière.
Une fois que Péné tenait en joue Prospero, Slad et Space, se jetère dessus et le ligotère.

Les trois soldats ramenaient, Prospero auprès des autre soldats.

Alors qu'est ce qu'on lui fait? La proposition de pene me semble très bien, mais on peut aussi l'écarteler, lui arracher les ongles, quelqu'un a une autre idées ?

Puis Space vit la victime de prospero, il apercut dans le regard de Faustine, une envie de vengence et de voir souffrir Prospero.

Space sortit son épée et se dirigea vers prospero, lui mit son épée sous la gorge et lui chuchota à l'oreille :
Tu n'aurait jammais dut naitre, espere de pervers, on vas te faire regreter tous ce que tu as fait.
Tu vas souffrir mille tourment.

Brakass ralentis au niveau de l'arbre voyant Prospéro maitrisé,
contournant la fosse ou un vieillard était empalé il s'approcha de la jeune fille
et commença a trancher ses liens.

la corde tombant au sol Vival était là pour réceptionner la petite,
voyant sont état Brakass sut que cela n'augurais rien de bon quand au traitement
qu'elle avait dut subir.

*Vival aura besoin de tout l'éventail de ses connaissances*

Dépecez le

c'était le cri de Luffy qui trahissait la pensée de tous.

profitant de ce que Vival s'occupait de l'enfant et de ce que les autres ligotaient Prospéro,
Brakass appela Marca.

Marca un coup de main? va falloir sortir ce pauvre hère de là et l'enterrer!

ce faisant j'attrapais le vieillard par sous les bras et commençais a essayer de le dégager

Alors qu'est ce qu'on lui fait? La proposition de pene me semble très bien, mais on peut aussi l'écarteler, lui arracher les ongles, quelqu'un a une autre idées ?

c'est ce que lançait alors Space.

Ben on enterre le papy là et si tu lui baisse ses braies sur les chevilles je suis d'avis que ma dague aille le titiller ou Qu'y faut donne moi dix minutes.

Les soldats montraient tous leur nervosité après cette traque et les horribles choses qu'ils avaient vues par la faute de ce vil bandit... Sans foi ni loi il avait commis les pires vices... Sladificator le regardait avec dégoût, Space semblait au sommet de la nervosité et lui chuchotait des menaces à l'oreille du bandit qui pâlissait au fil que les minutes s'écoulaient...

Sladificator s'éloigna un peu, regardant les soldats se comporter étrangement... Tous ne désiraient qu'une chose, le voir rendre son dernier souffle... Son regard se porta vers la jeune fille qui avait été délivrée de ses liens... Recueillie dans les bras de Viva, ses larmes coulaient le long de ses joues, comme soulagée et à la fois haïssante en regardant du coin de l'oeil Prospero...

Sladificator fouilla dans les différents sacs qu'ils avaient emportés puis sortit la peau d'ours. Il se dirigea vers Viva et et plaça la peau d'ours sur les épaules de la pauvre fille... Il se mit à genou pour la regarder et se positionner dans son regard puis lui sourit

Il n'y a plus rien à craindre maintenant.

Il se releva puis regarda Brakass et Marca qui enterraient le vieil homme qui s'était pris le piège mortel de Prospero... Il les regardait avec fierté, ils savaient vraiment se rendre utiles et tâchaient toujours de respecter les victimes faites sur le passage de Prospero... Il s'avança alors vers Marca et attrapa le bâton qu'il portait dans son dos.

Je te l'empreinte quelques minutes, tu n'y vois pas d'inconvénients j'espère !

Il se retourna et alla rejoindre la jeune fille en lui tendant le bâton...

Que pensez vous d'une bastonnade pour lui faire rendre son dernier souffle à cet homme perfide ?

Il regarda la jeune fille puis lui dit

Peut être voudras tu donner le premier coup... Nous nous chargerons du reste, il n'est pas question de faire de toi une assassin.

J'en voulait a Prospero pour ce qu'il avait fait a la jeune fille, de la mort atroce qu'il avait infligé au vieillard que nous enterrions, pour mon bras ou le carreau etait encore fiché, pour cette longue traque ou j'avais failli servir de diner a des hérétiques....
J'etait passablement énervé, j'avais mal...oui moi la tornade j'avais mal !

Au fond de moi je trouvais quand meme la force de ne pas vouloir prendre part a la torture de prospero, j'etais un soldat pas un assassin, ligotté et boitillant prospero n'etait plus une menace pour personne.
C'etait le travail de la justice de lui infliger une peine suffisante.

Mes camarades n'etaient pas du meme avis visiblement et slad m'avait meme emprunté un manche pour le bastonner

Faites lui ce qui vous chante, je ne veux pas y assister leur lançais-je Je ne m'abaisserai pas a son niveau.

A ces mots tous me regardèrent et je pu lire dans le regard de certains une profonde incomprehension mais dans celui de brakass qui me conaissait bien je pu lire le plus grand respect.

Je decidais de m'isoler a bonne distance d'eux pour profiter du paysage et surtout ne pas les voir a l'oeuvre.

Alors qu'il tentait maladroitement de fuir , il senti bien vite le baiser glacial d'une épée lui parcourir l'échine. Il se stoppa net, il n'avait pas d'autres choix de tout facon, s'il faisait un pas de plus il finirait embrocher sur le champ.
En deux temps trois mouvements, il se retrouva attaché avec une autre épée sous la gorge.
Il commencait à transpirer à grosses gouttes, tout les soldats autour de lui se questionnaient pour savoir la meilleure facon de le torturer.
Les uns voulaient le castrer, les autres le dépecer. Il fallait qu'il trouve un moyen de se tirer de ce mauvais pas.
Il tenta de les appitoyer.

Ecoutez, j'ai droit à un procès équitable, qui êtes vous pour juger un homme, connaissez vous mon passé, ce que j'ai du endurer, non vous ne voyez que la face visible de l'iceberg et vous vous permettez de juger.

S'adressant à Marca....Vous la bas, vous avez l'air humain, ne les laissez pas me torturer, que penserait Aristote de tout cela ???????

Brakass avec tout ce tumulte en avait oublié la blessure de Marca, Slad empruntant le baton de Marca était en route pour lui filer une correction.

Faites lui ce qui vous chante, je ne veux pas y assister, Je ne m'abaisserai pas a son niveau.
lançait Marca s'éloignant a l'écart.

l'attrapant par l'épaule Brakass lui dit a mi voix

Ne t'en fait pas nous ne somme pas comme lui il ne mourra pas ici Péné nous a ordonné de le garder en vie de toute manière, mais lui n'est pas censé le savoir alors si il peut crever de trouille a l'idée qu'on l'étripe en attendant de reprendre la route ma foi laissons faire Slad il va nous le travailler aux petit oignons, cela dit ta réaction fait chaud au coeur et te fait honneur.

puis reprenant d'une voix normale.

Va faire soigner ce bras ami tu es trop jeune pour finir manchot, Luffy, Flote un coup de main!!!

lançait alors Brakass a l'attention des deux archers pour l'aider a creuser et enterrer le pauvre diable dernière victime de Prospéro

Quand a toi ton passé on s'en cogne mais bouge pas je finis et j'arrive! a l'attention du prisonnier

Ecoutez, j'ai droit à un procès équitable

Péné s'approcha de lui et droit dans les yeux lui dit

Un procès équitable ?...........

Elle prit un air narquois.......

Pour l'heure tu bouges pas et surtout tu la fermes......Après peut-être on pourra discuter !

Puis se tournant vers les soldats

Gardez-le moi en vie !

Vivaldiana s'était approchée de la petite fille à grandes enjambées et l'avait délictament prise dans ses bras, sans la brusquer car elle imaginait très bien tout ce que ce pervers de Prospéro avait dû lui faire subir... Elle sentait ses larmes de soulagement couler le long de son cou, elle lui murmurait des mots qu'elle voulait rassurants...

Là... Tout va bien... C'est fini... Je vais prendre soin de toi... Tu n'as plus rien à craindre de lui...

Ses compagons avaient ligoté le bandit et lui promettaient mille supplices... Slad se dirigea vers elles et tendit un manche à la fillette en lui proposant de le battre une première fois...

Peut être voudras tu donner le premier coup...

Instinctivement, Viva la serra un peu plus contre elle et lança un regard perplexe à Slad...

Nous nous chargerons du reste, il n'est pas question de faire de toi une assassin.

Elle retint un soupire de soulagement et voyant Marca souffrir à cause u carreau d'arbalète toujours planté dans le bras, elle chuchota à sa protégée :

Je vais soigner le soldat là-bas, je te laisse aux bons soins de Sladificator et je reviens de suite...

Elle essuya les larmes qui roulaient toujours sur les joues de la petite fille et lui sourit avec compassion... Elle courrut ensuite vers Marca qui s'était isolé et sortant un bandage et une bouteille d'alcool de son sac elle se mit au travail...

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